NAIROBI – La mort du chef d’Al-Qaïda, Oussama Ben Laden, est un « acte de justice » pour les victimes de l’attentat perpétré en 1998 contre l’ambassade américaine au Kenya, a affirmé dans un communiqué lundi après-midi le président kenyan, Mwai Kibaki.
« Au nom du Gouvernement et du peuple de la République du Kenya, je félicite toutes les personnes qui sont derrière la liquidation d’Oussama Ben Laden », a indiqué le président kenyan dans un communiqué.
La première attaque d’envergure internationale perpétrée le 7 août 1998 à proximité de l’ambassade des Etats-Unis et d’une banque à Nairobi a fait 200 morts et plus de 1000 blessés.
Plus tôt, le Premier ministre kenyan Raila Odinga a déclaré que le meurtre du chef d’Al-Qaïda est une réalisation majeure et une justice pour toutes les victimes du terrorisme au Kenya.
« Nous nous félicitons de la liquidation d’Oussama Ben Laden qui constitue inéluctablement l’un des grands succès de la guerre contre le terrorisme », a précisé Raila Odinga.
Oussama ben Laden a été tué dimanche au Pakistan par un commando américain.
Nsy
2 Mai 2011
ALORS QUE LA CHUTE DE GBAGBO N’A PAS LIVRÉ SES SECRETS Abidjan regagne sa place dans la Françafrique
Source : Telediaspora.net : Dernière Mise à jour : 02/05/2011 (Auteur : autres)
C’est WikiLeaks qui le suggère implicitement en levant le voile sur les relations Sarkozy-Ouattara. Suivez la femme, comme dans un polar… À en croire ce site qui défraie les chroniques avec ses révélations secret-défense, le nouveau président ivoirien aura bel et bien été installé dans le palais présidentiel d’Abidjan par les forces françaises stationnées en Côte d’Ivoire sous le vocable de Licorne.
Ouattara ne serait alors plus qu’un nouveau pion dans le dispositif françafrique que le président français a réanimé après avoir juré en 2007 abolir pour le remplacer par des relations franco-africaines plus seines, fondé sur l’équilibre gagnant-gagnant. Le site WikiLeaks révèle que Nicolas Sarkozy était en grande amitié avec Alassane Ouattara bien avant qu’il n’occupe l’Élysée. Le président français a tissé des liens avec son homologue ivoirien lorsqu’il était ministre de l’Intérieur de Jacques Chirac, lequel avait totalement mis à l’écart l’opposant ivoirien qui avait été sur le tard premier ministre du père de l’indépendance ivoirienne, Félix Houphouët-Boigny mort en 1993 et qui constituait avec son homologue gabonais, Omar Bongo, mort en 2009, l’épine dorsale de la Françafrique. Jacques Chirac n’aurait pas apprécié qu’Ouattara ait convolé en noces avec l’ex-femme d’Houphouët-Boigny. Un diplomate français a raconté à un homologue américain que les relations des Français avec le camp Ouattara étaient rompues parce que Chirac n’acceptait pas son mariage avec “la femme” d’Houphouët. Les sentiments de Chirac vis-à-vis d’Ouattara étaient tels que personne, au ministère des AE ou à la présidence, ne cherchait le contact avec Ouattara, avait précisé le diplomate français.
Chirac soutenait Henri Konan Bédié, rival d’Ouattara dans l’opposition à Laurent Gbagbo. Ces confidences, qui ont manifestement déconcerté les Américains, sont rapportées dans un télégramme envoyé au département d’État par l’ambassade US à Paris, le câble est classé “secret/noforn”, le plus haut degré de classification possible. La femme par laquelle la rupture a prévalue est une Française qui en est à son troisième mariage. Dominique Nouvian est née il y a 57 ans à Constantine et a épousé en première noce un concitoyen Folloroux. Le couple s’est installé en Côte d’Ivoire en 1973 lorsque Folloroux y avait été affecté comme professeur au lycée technique d’Abidjan. Celui-ci décéda dix ans plus tard, la laissant avec deux enfants. Femme avisée, elle fonda AICI, une société de gestion immobilière à qui Houphouët a confié tous ses biens dans la pierre, et pas seulement en Côte d’Ivoire. C’est aujourd’hui un groupe prospère, en Afrique et en France.
Femme d’affaires à succès et blonde, Dominique connaît le vieil Houphouët-Boigny et voit ainsi s’élargir ses contacts politiques et son influence dans son pays d’adoption mais aussi en France. Proche des milieux d’affaires français dont Martin Bouygues, Bolloré et tous les autres patrons qui s’alimentent dans les réseaux de la Françafrique, le couple Ouattara serait entré en relations avec Nicolas Sarkozy qui était lui aussi bien introduit dans les milieux du CAC 40. Plusieurs médias ivoiriens, et parfois français (comme Le Point) affirment que l’actuel président français les a mariés en 1991 alors qu’il était maire de Neuilly. En outre la femme d’Ouattara était proche de Cécilia la seconde femme de Sarkozy, Dominique Ouattara devenu la première Dame de Côte d’Ivoire est aujourd’hui à la tête d’un petit empire, qui s’étend à la franchise des salons de coiffure Jacques Dessange aux États-Unis ou à la direction de Radio Nostalgie Afrique. Son groupe immobilier pèse 1,3 million d’euros de chiffre d’affaires en 2009.
Et pour terminer ce tour, il faut également ajouter que la communication et le marketing d’Ouattara ont été assurés par une boîte française de com. (PB COM International) dont la patronne Patricia Balme a ses entrées à l’Élysée, notamment auprès de la cellule Françafrique.
C’est une proche du président français. La Françafrique a ainsi de bons jours devait elle, à moins que l’Afrique sub-saharienne ne soit contaminé par le Printemps arabe.
Par : Djamel Bouatta sur http://www.liberte-algerie.com
MBOUNGOU
2 Mai 2011
@Nsy,
Qu’est ce qui vous étonne ou qu’est ce qui est nouveau dans cet autre article. Tout est dit sur la Françafrique et c’est au peuple Africain de savoir se débarrasser de cette organisation mafieuse.
ingrid
3 Mai 2011
Et pour ce debarraser de la Françafrique il faut se debarraser de wat rat, obiang, biya, sassou, deby, campore,bongo, et tous les chefs d’états traîtres qui nous gouvernent. Ce sont eux qui mettent nos vies en danger. Ce sont eux qui empêchent l’Afrique se developper. Donc nous menons ce combat sur deux front; D’un coté contre l’impérialisme, françafrique et d’autre coté contre les traîtres chefs d’états africains pour les mettre dehors. Voilà!Heureusement nous sommes déjà nombreaux à comprendre ça! à connaîttre nos vrais ennemis, la cause de nos maux!!
Nsy
2 Mai 2011
A LIRE ABSOLUMENT
BLAISE PASCAL LOGBO RAPPELLE AUX PRESIDENTS D’INSTITUTIONS IVOIRIENNES L’ARTICLE 98 DE LA CONSTITUTION
Ivorian.Net-2/5/2011
BLAISE PASCAL LOGBO RAPPELLE AUX PRESIDENTS
D’INSTITUTIONS IVOIRIENNES L’ARTICLE 98 DE LA CONSTITUTION
INTRODUCTION : RAPPEL HISTORIQUE
Depuis le 19 septembre 2002 notre cher pays n’a cessé d’écrire des pages sombres et douloureuses de son histoire. Une tentative de coup d’Etat s’est muée en rébellion armée divisant la Côte-d’Ivoire en deux. De nombreuses violations graves des droits l’homme, des crimes à caractère génocidaire, des crimes de guerres et des crimes économiques continuent d’être commis depuis cette date, plongeant ainsi le pays dans une crise, puis un chaos politique et socio-économique sans précédent.
Les différents principaux acteurs de la crise, à savoir le Président de la République Laurent Gbagbo et les responsables de la rébellion, ont opté pour sa solution négociée. Des accords ont été signés, en sus des nombreuses résolutions onusiennes, dans l’objectif de résoudre définitivement la crise par des élections démocratiques, libres, transparentes et ouvertes.
Or le second tour de l’élection présidentielle du 28 novembre 2010 a été fortement marquée par des irrégularités tant au niveau du déroulement du scrutin qu’au niveau du fonctionnement de la Commission électorale indépendante, au regard de la Constitution et du Code électoral. Statuant en dernier ressort sur les résultats du second tour de la présidentielle, le Conseil constitutionnel, a proclamé le Président Laurent Gbagbo vainqueur et a procédé à son investiture solennelle le 4 décembre 2011, conformément à la Constitution.
Alors que nous nous attentions au respect des résultats définitifs par le RHDP (Rassemblement des Houphouétistes pour la démocratie et la Paix) et ses alliés de la « communauté internationales », ceux-ci ont fait le choix de la contestation desdits résultats. Depuis cette date, le complot international contre la Côte-d’Ivoire, débuté le 19 septembre 2002, a ressurgi avec plus d’intensité et de détermination pour plonger le pays dans le chaos et opérer un coup d’Etat contre le président Gbagbo, dans un contexte de guerre engagée contre les ivoiriens par l’armée française, les casques bleus de l’ONU et la rébellion d’Alassane Dramane Ouattara.
Le coup d’Etat du 11 avril 2011, mené par la France et aidée dans sa tâche par les casques bleus de l’ONU et la rébellion, a été fait au profit d’Alassane Dramane Ouattara. Dans une tentative de falsification de l’histoire, celui-ci et ses alliés occidentaux et africains ont décidé de couvrir la laideur de leur coup d’Etat du voile enjolivant de la « légitimité » pour se donner une bonne conscience et tromper les observateurs non avertis de la politique ivoirienne. Dans cette perspective, nous avons assisté à un ballet extraordinaire d’allégeances et d’audiences des présidents d’institutions de la République.
Cette pseudo-légitimation programmée du coup d’Etat du 11 avril 2011 et les attitudes des ces principaux acteurs nécessitent une analyse en vue d’éclairer l’opinion nationale et internationale sur la question.
Il s’agit par ce texte de montrer les contradictions choquantes dont sont fortement marqués ces « allégeancionistes », principaux acteurs de cette pseudo-légitimation programmée, ainsi que la lâcheté, la trahison et le vil intérêt égoïste qui sous-tend leur démarche et leur posture actuelle, aux antipodes du combat exemplaire et héroïque du Président Laurent Gbagbo.
I- LE CAS TIA KONE : PRESIDENT DE LA COUR SUPRÊME
Parti faire allégeance à Alassane Ouattara, M. TIA Koné, Président de la Cour suprême de Côte-d’Ivoire a fait la déclaration suivante : « Alors, M. le président de la République, comme dans leur langage ferme et généreux, les généraux de notre armée ont su vous le dire hier et avant-hier, nous sommes à vos ordres M. le président de la République ! ». M. TIA Koné est celui qui, par l’Arrêt N°E 0001-2000 d’Août 2000, a invalidé la candidature d’Alassane Dramane Ouattara pour sa nationalité douteuse. Sous le règne de la transition militaire, le Président de la Cour suprême s’était montré digne en ne se soumettant qu’à l’autorité de la loi fondamentale de la République. Mais dans le contexte sociopolitique actuel, il a décidé de fouler au pied la légalité constitutionnelle pour cautionner le coup d’Etat du 11 avril dernier. Pour ce haut magistrat de la République, le fait a désormais force de droit devant lequel il faut se prosterner dans l’espoir de préserver sans doute ses acquis économiques et socioprofessionnelles.
II-LE CAS LAURENT DONA FOLOGO :
PRESIDENT DU CONSEIL ECONOMIQUE ET SOCIAL
Quelle interprétation ou quelle explication donner à l’allégeance du Président du Conseil économique et social au bénéficiaire du coup d’Etat du 11 avril? C’est par un rappel de ses allégations antérieures qu’il convient d’introduire la réponse à cette interrogation.
A l’occasion d’une interview réalisée par Abel Doualy et publiée le 28 décembre dernier sur le site fratmat.info, M.Laurent Dona Fologo, au sujet de la victoire électorale du Président Gbagbo, disait ceci : «Je voudrais faire remarquer que mon respect de la légalité et de la Constitution est une constante. Les Ivoiriens le savent et cela est connu au-delà de nos frontières. (….)Je suis contre le coup d’Etat sous quelque forme que ce soit. J’ai été l’une des victimes de ce fameux coup d’Etat [celui de 1999]. A ma sortie de prison politique à Akouédo, je n’ai pas accepté de rejoindre avec certains de mes amis le camp du général Guéi qui était le fauteur présumé dudit coup d’Etat. (…)Ayant fait du respect de la légalité et de la Constitution une constante, je ne peux pas comprendre aujourd’hui qu’on veuille désigner le nouveau Président de le République en sautant une étape importante qu’est le Conseil constitutionnel. Au premier tour, toutes les étapes ont été suivies. Le monde entier nous a salués pour son bon déroulement. Pourquoi voulez-vous qu’au second tour, l’on saute subitement une étape, celle du Conseil constitutionnel ? (…)La Côte d’Ivoire n’est pas un Etat voyou. On ne peut pas y accéder au pouvoir par des astuces, des raccourcis. (…)A mon avis, la loi ivoirienne a été dite même si certains estiment qu’elle ne l’a pas été complètement.(…)Et le malheur de Gbagbo, c’est de paraître comme le précurseur de l’Afrique de la vraie indépendance, cette Afrique nouvelle dont Houphouët-Boigny rêvait. Il est donc un danger pour ceux qui veulent continuer à exploiter nos ressources.»
L’homme qui affirmait être pour la légalité constitutionnelle et contre les coups d’Etat a donc habilement pris la décision de cautionner l’illégalité et de donner son approbation au coup d’Etat du 11 avril 2011. La décision du Conseil constitutionnel proclamant le Président Laurent Gbagbo vainqueur de l’élection du 28 novembre ne s’impose plus à M. Laurent Dona Fologo. Or l’article 98 de la Constitution ivoirienne est très claire qui stipule que « Les décisions du Conseil constitutionnel ne sont susceptibles d’aucun recours. Elles s’imposent aux pouvoirs publics, à toute autorité administrative, juridictionnelle, militaire et à toute personne physique ou morale. »
Cette dichotomie entre les propos et les dernières actions de M. Laurent Dona Fologo montre bien que, contrairement à ce qu’il affirmait, son respect de la légalité et de la Constitution n’a jamais été une « constante ». Il a sans doute agi dans l’espoir de préserver ses acquis et privilèges sociopolitiques et économiques. Cette nouvelle posture de l’homme est la preuve qu’il a opté pour la reculade, là où l’Histoire l’appelait à prendre ses responsabilité en demeurant dans la constante du respect de la légalité et de la Constitution.
Cependant, M. Fologo veut se donner bonne conscience en citant sur les ondes de RFI (Radio France internationale) son maître politique, feu Houphouët Boigny, dans les propos du genre «Le président Houphouët Boigny nous a enseigné que la politique est la saine appréciation des réalités bonnes ou mauvaises. (..)Je reconnais le président Ouattara comme le président de la République de Côte d’Ivoire parce qu’aujourd’hui la réalité c’est celle-là. (..)J’ai dit publiquement que quel que soit le président de la République de Côte d’Ivoire, je suis prêt à l’aider à réussir sa mission.»
La saine appréciation de la réalité qu’aurait dû faire M. Fologo était cependant de dire que l’armée française, les soldats de l’ONUCI et les rebelles ont fait un coup d’Etat militaire pour mettre M. Ouattara au « pouvoir » et que celui-ci ne mérite pas son soutien dans ces circonstances, étant donné que le respect de la légalité et de la Constitution est chez lui une constante. Dire que la « politique est la saine appréciation des réalités bonnes ou mauvaises » n’a pour Fologo autre sens que faire la politique c’est défendre ses intérêts égoïstes, même au mépris des lois.
III-LE CAS MAMADOU KOULIBALY :
PRESIDENT DE L’ASSEMBLEE NATIONALE
Que dire du Président de l’Assemblée nationale dans cette atmosphère d’allégeancephilie qui distingue désormais les Présidents d’institutions ivoiriennes ?
M. Mamadou Koulibaly se présentait comme le dénonciateur, le farouche et virulent opposant du pacte colonial et de l’impérialisme Français dans ses livres intitulés Les servitudes du pacte colonial et La guerre de la France contre la Côte-d’Ivoire. Le rappel de quelques extraits de ses écrits permettrait de comprendre la nouvelle posture de l’homme.
En introduction de la seconde œuvre ci-dessus citée, M. Mamadou Koulibaly écrit : « Alors que la France n’a pas respecté ses engagements vis-à-vis des accords de coopération militaires et de défense, elle voudrait institutionnaliser en Afrique le gangstérisme international qui consisterait à éjecter du pouvoir, des régimes démocratiques sous le prétexte fallacieux qu’ils ne sont pas capables de défendre les intérêts du pays gangster. Le peuple de Côte d’Ivoire dit non. (…)Patriotes de tous les partis et de toutes les Nations, conjuguons nos efforts pour aller en croisade contre les déstabilisateurs de notre belle Côte d’Ivoire. Il ne s’agit pas d’une option pour nous. Il s’agit d’une nécessité vitale. » Par ailleurs, s’exprimant au sujet de la loi française N°2005-158 du 23 février 2005 évoquant en son article 4 la positivité de la colonisation française, M. Mamadou Koulibaly disait ceci : «Ne nous méprenons pas, la crise ivoirienne est une crise d’émancipation qui trouve sa source dans les dérives de la colonisation. .(…)La France doit également avoir à l’esprit qu’avec la prise de conscience du peuple de Côte d’Ivoire, et sa maturité politique de 2005, débarrassée des complexes du colonisé des années 60, aucune démarche de passage en force, même par voie diplomatique, ne peut constituer une solution durable à la complexe situation qui est le résultat de la volonté de Paris de mettre au pas la Côte d’Ivoire. (…)Cette crise oppose d’un côté ceux qui veulent sortir de la domination brutale française et revendiquent la pleine souveraineté de la Côte d’Ivoire, la liberté de pensée et de choix pour tous les ivoiriens, et d’un autre côté, ceux qui acceptent de s’appuyer sur cette position indécente de la France pour prendre le pouvoir et permettre aux réseaux maffieux de la françafrique de continuer l’exploitation abusive de nos richesses en dehors de toute règle marchande. Tout le débat est là. (…)La communauté internationale doit comprendre que la Côte d’Ivoire veut être seule responsable de ses choix. Elle se considère émancipée à quarante-cinq ans, et elle veut se soustraire du colonialisme et surtout de ses perversions que constitue le contrôle de sa pensée, de son orientation politique, de ses richesses et de son économie par la France. (…)Nous africains qui continuons de souffrir au quotidien des effets néfastes de la colonisation, nous sommes aussi libre de nous battre contre elle avec nos amis non africains qui refusent le révisionnisme. (…) S’opposer à la colonisation et à la domination est un droit fondamental dont on ne peut nous priver. Nous en avons la pleine mesure aujourd’hui, c’est pourquoi il est illusoire de penser que la colonisation retrouvera ses assises en Côte d’Ivoire, que ce soit par la force diplomatique, ou par la force militaire ou financière. (…)Les ivoiriennes et les ivoiriens savent que leur combat d’aujourd’hui est une réactivation de la lutte d’indépendance restée inachevée. Ne pas conduire ce combat à son terme définitif, c’est léguer à nos enfants l’héritage d’une nouvelle lutte à venir. C’est un passif que le peuple de Côte-d’Ivoire d’aujourd’hui ne veut pas laisser derrière lui. Depuis les années 60, la France n’avait pas jugé utile de proclamer le caractère positif de sa colonisation. Maintenant que la Côte d’Ivoire dénonce la poursuite de cette colonisation, alors Paris veut noyer le poisson. Quelque part, nous en sommes heureux, car cela confirme, si besoin était, le caractère juste de notre combat, et la nécessité de sa poursuite. (…) Nous sommes sur la bonne voie, et nous y demeurons car, inéluctablement, tant que nous poursuivrons notre lutte sans faiblir et sans faillir un beau jour nous recouvrerons notre liberté, pleine et entière.»
Mais depuis le 11 avril dernier, et même bien avant, M. Mamadou Koulibaly a perdu son éloquence marquant ses diatribes contre la France. Celui qui parlait du « caractère juste de notre combat » contre les pratiques néocoloniales de la France et de « la nécessité de sa poursuite » a plutôt fui le combat et décidé non seulement de soutenir son coup d’Etat mais aussi de le « légitimer ». Oui M. Mamadou Koulibaly a décidé de se présenter désormais comme l’un des artisans de la pseudo-légitimation du coup d’Etat du 11 avril. Celui qu’il appelait « le chef des rebelles » (dans La guerre de la France contre la Côte-d’Ivoire) est aujourd’hui appelé par lui « le Président de la République ».
En véritable alchimiste, sorcier et magicien politique, il se dit être préoccupé d’inscrire le coup d’Etat du 11 avril, opéré principalement par la France, dans la légalité constitutionnelle et dans l’Etat de droit. C’est ce qui ressort de ses propos : « Je lui [Ouattara] ai fait part des préoccupations des députés qui aimeraient bien qu’en tout début de mandat, nous puissions nous inscrire dans la légalité constitutionnelle. Les ordonnances qui sont prises actuellement doivent avoir l’autorisation de l’assemblée nationale et d’une régularisation. Le président a donné son accord pour cette autorisation. (…)Nous avons parlé de l’Etat de droit pour expliquer qu’il est important qu’en début de mandat, conformément aux vœux de l’Union africaine, que le président puisse avoir une prestation de serment de façon régulière. Il a donné son accord. Je crois savoir que le président du Conseil constitutionnel est en route d’Accra pour Abidjan. (…) Le président m’a dit qu’une cérémonie sera organisée pour rester conforme au vœu de l’Union africaine.»(Le Nouveau réveil du jeudi 21 avril 2011) Alors que le Président Laurent Gbagbo, son épouse Simone Gbagbo bénéficiant d’une immunité parlementaire, et bien d’autres citoyens sont arbitrairement détenus par les rebelles, le Président de l’Assemblée nationale n’a pas osé demander leur libération sans condition à celui qu’il appelait le chef des rebelles.
En faisant allégeance à M. Ouattara, M. Mamadou Koulibaly a fait preuve de déshonneur et de haute trahison de la Nation. Il a tristement raté son entrée honorable dans l’histoire de la Côte-d’Ivoire par l’article 40 de la constitution ivoirienne, faisant de lui l’intérimaire du Président Laurent Gbagbo en cas de décès, de démission ou d’empêchement absolu. L’occasion historique était offerte à M. Mamadou Koulibaly pour s’opposer au coup d’Etat de la France et assurer l’intérim du Président Gbagbo. Il aurait montré ainsi son attachement à la légalité constitutionnelle, la constance et la sincérité de son combat contre la France et les autres puissances néocoloniales. Mais triste constat : l’homme a manqué son rendez-vous avec l’Histoire, par son incapacité de prouver le mouvement en marchant.
IV- LE CAS YAO N’DRE PAUL:
PRESIDENT DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL
M.YAO N’Dré Paul dispose-t-il d’arme juridique pour annuler la décision du Conseil constitutionnel et investir légalement M. Alassane Dramane Ouattara comme Président de la République de Côte-d’Ivoire?
Rentrée d’Accra où il s’était refugié, le Président du Conseil constitutionnel a été reçu en audience par M. Alassane Ouattara. Ils auraient convenu de l’investiture prochaine de celui-ci comme Président de la République de Côte-d’Ivoire. Sortant de cette audience, M. YAO N’Dré Paul a fait la déclaration suivante: «Nous sommes tous responsables de ce qui est arrivé: le Président actuel, le Président parti, Laurent Gbagbo, les citoyens, les médias, tout le monde est responsable, voilà.» C’est le lieu de dénoncer l’accusation du peuple ivoirien par M.YAO N’Dré Paul. Le peuple ivoirien a été la principale victime de la faute commise par le Conseil constitutionnel. Le président du Conseil constitutionnel peut faire humblement son mea culpa dans la tragédie actuelle de la Côte-d’Ivoire. Car l’institution qu’il dirige avait, selon l’article 38 de la Constitution, la responsabilité de la prise de décision définitive pour empêcher la tenue de l’élection présidentielle sans le désarmement des rebelles. Mais le Conseil constitutionnel n’a pas été capable de prendre cette responsabilité historique, afin de garantir aux ivoiriens une élection présidentielle démocratique, libre et transparente.
Or le COPACI (Courant de Pensée et d’Action de Côte-d’Ivoire), faut-il le rappeler, dans ses déclarations publiques, n’avait cessé de marquer sa claire et ferme opposition à une élection présidentielle sans désarmement. Le COPACI avait averti que l’élection présidentielle ne pouvait être démocratique, libre et transparente sans le désarmement, et que la paix tant recherchée par cette élection ne pouvait être garantie dans ce contexte. La tragédie postélectorale nous donne malheureusement raison.
Le projet d’investiture de M. Ouattara par M.YAO Paul N’Dré met celui-ci en contradiction avec ses propos antérieurs et l’engage sur la voie de la trahison. A l’occasion de la sortie officielle de la 49ème promotion de l’Ecole Normale Supérieure, le Président du Conseil constitutionnel, dans son discours, évoquait la nécessité de bâtir un Etat démocratique, moderne et souverain et la nécessité de respecter la Constitution. «(…) L’accession au pouvoir par le suffrage universel légitime, disait-il, le pouvoir d’Etat et son dépositaire. Ensuite, l’avènement d’un Etat démocratique requiert un environnement propice et la mise en place d’institutions fortes, ointes par la légitimité et la légalité, et l’existence de règles devant favoriser l’intervention des citoyens dans toutes les cellules sociales quant à la prise des décisions. (..)Le règne de la loi, notamment la Constitution, est concomitant à l’émergence d’un Etat démocratique et moderne. Les producteurs de la loi, tous les citoyens et tous ceux qui vivent sur le territoire national doivent être soumis à la loi. C’est l’Etat de droit. (…)Il est donc indispensable que la souveraineté, la Constitution ainsi que les Institutions soient respectées et, au besoin, protégées pour inscrire l’Etat démocratique dans la modernité pour le développement durable. Et c’est ce que les Ivoiriens ne cessent de faire depuis la crise du 19 septembre 2002. (…)C’est à ce prix que nous bâtirons ensemble, dans un élan collectif, un Etat démocratique, moderne et souverain ivoirien pour un respect de sa loi fondamentale, de sa Constitution, de l’état de droit, des droits humains et de sa souveraineté. C’est un impératif dû par tout citoyen ivoirien. C’est pourquoi, nous devons résister et résister, lutter et lutter pour vaincre.» Après avoir avoué son attachement à la légalité constitutionnelle et à l’Etat de droit, le Président du Conseil constitutionnel va-t-il violer la Constitution ivoirienne en son article 98 ? Après avoir appelé à la résistance et à la lutte pour la souveraineté de la Côte-d’Ivoire et le respect de sa Constitution, va-t-il se résigner et abandonner la lutte ?
Encore une fois, faut-il rappeler à M. YAO N’Dré Paul que l’article 98 de la Constitution stipule clairement que « Les décisions du Conseil constitutionnel ne sont susceptibles d’aucun recours. Elles s’imposent aux pouvoirs publics, à toute autorité administrative, juridictionnelle, militaire et à toute personne physique ou morale. ». Vu cet article 98 de la Constitution, malgré sa qualité de Président du Conseil constitutionnel, il ne peut annuler la décision N° CI-2010-EP-34/03-12/CC/SG par laquelle cette institution a proclamé, en son article 3, Laurent Gbagbo Président de la République de Côte-d’Ivoire. Une annulation de cette décision ne sera rien d’autre que l’opération d’un viol juridique scandaleux, ridicule et absurde.
Nous sommes curieux de savoir par quelle argutie, acrobatie ou prestidigitation juridique le Président du Conseil constitutionnel pourra librement proclamer et investir Ouattara comme le Président de la République de Côte-d’Ivoire. En tout état de cause, toute prestidigitation juridique de légitimation constitutionnelle de M. Ouattara ne s’inscrira que dans la pure illégalité et sera par conséquent nulle et de nul effet.
Le Président du Conseil constitutionnel investira-t-il M. Ouattara contre son gré, en cédant aux contraintes, pressions et menaces ? La réponse affirmative à cette interrogation hypothétique confirmera davantage la nullité d’un tel acte conformément au code civil ivoirien en ses articles 1111, 1112 et 1113 qui rend nulle et de nul effet toute obligation ou tout acte consenti sous l’effet de la violence et des menaces.
CONCLUSION : LE COMBAT CONTINUE
La manie d’allégeance constatée chez les Présidents d’institutions de la République est symptomatique de leur manque de courage et de leur trahison. Rien ne saurait justifier ou légitimer leur allégeance, même des contraintes, menaces et pressions exercées sur eux. Car constituent une preuve contre eux tous les risques pris par le Président Gbagbo et les patriotes dans ce combat contre le néocolonialisme, en bravant les pressions et les menaces de tous genres.
M. Ouattara a-t-il vraiment besoin d’une investiture pour gouverner ? N’a-t-il pas formé un gouvernement, nommé des ambassadeurs et pris des décisions de chef d’Etat sans être officiellement investi Président de la République ? Si sa prestation de serment par écrit a une valeur juridique, pourquoi ne s’en contente-t-il pas ? Ce besoin d’investiture est pour nous une tentative de voiler une imposture.
Les patriotes ivoiriens, loin d’être découragés et désespérés par la lâcheté et la trahison de ces Présidents d’institutions, doivent être et demeurer les épigones du Président Laurent Gbagbo dans le combat pour l’indépendance et la souveraineté véritables de la Côte-d’Ivoire. Seul ce combat laisse ouverte la perspective d’un peuple ivoirien libre et profitant pleinement de ses richesses naturelles et culturelles.
Le Président Laurent Gbagbo a montré aux patriotes ivoiriens et d’Afrique la voie à suivre pour transformer en réalité concrète leur rêve de liberté, d’indépendance et de souveraineté véritables de leur nation. Refusant la fuite ou l’abdication pour jouir d’un exil ou d’une retraite heureuse, alors qu’il en avait la possibilité, le Président Gbagbo, dans ce combat contre le néocolonialisme de la France, a fait le choix de risquer sa vie et celle des membres de sa famille.
Il était devenu fou en se mettant au service passionné de son dieu. Son dieu n’était rien d’autre que son rêve sacralisé d’une Côte-d’Ivoire véritablement indépendante et souveraine. Sa folie est celle de l’homme révolté, l’homme qui dit « NON », en risquant sa vie, à toute forme d’asservissement et d’oppression. Par ce « NON », il a fait preuve de courage et de responsabilité devant l’Histoire.
Les patriotes d’ici et d’ailleurs ont le devoir historique de garder allumé le flambeau de la lutte pour l’indépendance et la souveraineté véritables de la Côte-d’Ivoire. Laurent Gbagbo n’est pas mort sous les bombardements et les assauts criminels des ennemis de la Côte-d’Ivoire. Mais gardons nous d’être ses assassins en tuant par notre lâcheté, notre trahison et notre désespoir le combat politique qui, depuis sa jeunesse, est devenu son souffle de vie.
BLAISE PASCAL LOGBO
Président du COPACI
(Courant de Pensée et d’Action de Côte-d’Ivoire)
Nsy
2 Mai 2011
@ MBOUNGOU le resistant,
Cher frere, c’est juste pour raffraichir la memoire de ceux qui y pensent rarement.
Merci pour votre vigilance.
Nous vaincrons la francafrique
wané
2 Mai 2011
si ben laden est vraiment mort , cela ne doit pas dater d’aujourd’hui. comme à leur habitude les usa se sont bien gardé de le faire savoir pour pouvoir en jouer au moment opportun sinon comment expliquer qu’un terroriste traqué depuis des années soit tué aussi facilement ?
-comment ce fait-il qu’on nous serve des photos truquées d’un ben laden tué seulement hier?
-comment se fait-il qu’ont soit si pressé de jeter son corps à la mer avant d’avoir apporté la preuve qu’il s’agit bien de ben laden?
comment se fait qu’il ait pu resister à l’envie morbide d’exiber leur trophée en le brandissant sous toutes les coutures comme ce fut le cas avec saddam fusse t-il mort?
-comment se fait-il qu’alors que la rumeur enfle sur l’assassinat du fils et des petits enfants de kadhaffi on nous sort comme d’une manche abracadabra la mort de ben laden?
reponse soit ben laden n’est pas mort donc il font dans le sensationnel pour distraire l’opinion et bien entendu n’eyant pas de corps ils sont donc forcés de faire dans du trucage d’où photos et largage en mer du corp precipité.
-soit ben laden est mort de sa belle mort depuis belle lurette et ils se sont bien gardé de le dire pour pouvoir l’exploité le cas echeant et ce n’est pas al qaida qui les trahirai puisque ça les arrange qu’il soit considéré toujour vivant.
conclusion n’ayant dans l’un comme dans l’autre cas pas de corps sur lequel pavoiser eh bien on arrive à la même demarche photo truqué corps immergé en mer precipitemment. alors pas de panique y a rien à voir circulez.
Vergos
2 Mai 2011
il ya des millions de ben laden dans le monde. si sa mort s’avère vraie.
nous sommes tous des mortels ici bas. chacun s’en ira de la manière prévue par le seigneur.
une mort est une mort. viloente, par noyade, par le bucher ou par maladie.
je dis chapeau bas à un Ben Laden, defenseur des opprimés.
– que ton âme repose en paix, toi qui a combattu l’injustice et l’arrogance de l’homme de blanc.
– que la terre te soit légère, toi qui est mort les armes à la main.
– que dieu t’absoud de tous péchés commis en ici bas et qu’il t’accepte dans son royaume, toi qui a combattu pour nous les faibles.
la poussière est retournée à la poussière. que le nom du seigneur soit glorifié.
DIRECT
2 Mai 2011
La comedie continue.
Les dirigeants americains ont des diificultés financières et essaient de detourner l’attention de l’opinion americaine par cette mort de Ben Laden.
Obama est en chute libre au niveau de sa cote de popularité.
Ou est le corps d’Oussama Ben Laden?
On nous apprend qu’il a été largué dans la mer pour respecter la coutume musulmane.
Quelque chose se prepare qu’on attribuera aux revanchards de la mort de Oussama Ben Laden
Ouvrons l’oeil et le bon.
Les americains et les europeens sont les grands terroristes,ils bombarbent et tuent des peuples innocents pour s’accaparer de leurs richesses.Ben Laden est le symbole de la lutte anti-terroriste,de la lutte contre l’imperialisme et le neocolonialisme.Ben Laden est un arbre fruitier qui a deja porté des fruits .On a tout compris.Il nous faut mener la lutte contre Ces terroristes qui veulent nous voler notre continent et par la meme occasion nous detruire tous.Le combat de liberation est un combat long et difficile auquel il faut croire avec de la determination et le sacrifice de soi,On ne meurt qu’une seule fois.Comment 1500 SOLDATS francais peuvent tenir en respect 20 MILLIONS d’habitants?en afganisthan ils sont autour de 150.000 mais ils n’arrivent à les soumettre malgré les tonnes de bombes.Les noirs doivent refuser de se soumettre sinon on nous ramène encore au temps de l’esclavage,bientot ce sera un retour au travail forcé ,il faut se battre pour notre liberté.
Que la bataille s’engage et qu’elle soit rude…
Vergos
2 Mai 2011
@DIRECTSTCOOP.
je me lève contre votre ligne éditorial sur le sujet de la mort d’un grand combattant comme BEN LADEN. Il a été en première ligne ces dernières années contre les injustices de l’occident.
il a defendu la cause des peuples arabes opprimés. quelques morts kenyens par rapport à des millions d’irakiens, d’afgans, de libanais massacrés par les occidentaux etc…, qu’est ce qui pèse dans la balance.
BEN LADEN est un héros MONDIAL qui mérite nos respects à nous tous, nous les peuples enchainés et humiliés à longueur de journée. Directscoop,vous commencez à prendre partie pour nos ernnemis avec vos titres et commentaires mal orientés.
à la faveur de la crise ivoirienne, vous avez dû vous rendre compte que l’homme blanc est un excellent menteur.
tout ce qu’ils ont raconté sur BEN LADEN était de la pure intox. du pipo.
c’était juste un prétexte pour une ‘expansion néo colonialiste.
BEN LADEN n’est pas mort. il vit en des millions d’opprimés.
BEN LADEN , que ton âme repose en paix.
ce crime ne restera pas impuni.
il sera vengé dans le sang des millions d’americains et européens.
tant pis pour eux. ce sont eux qui ont peur de mourir.
nous autres peuple opprimés et humiliés, arabes et africains, on est déjà des cabris mort.
roll
2 Mai 2011
@Vergos
Merci Vergos pour cette mise au point.
orso
2 Mai 2011
urgent urgent
les photos de notre presiden gbagbo sur le facebook de la majorité presidentielle lmp
gbagbo tres charismatique
dieu veille sur lui
MBOUNGOU
2 Mai 2011
@Vergos,
C’est le président Kenyan qui le dit fasse à ce que son peuple a connu. Directscoop ne fait que rapporter les faits de son message. On sait que Odinga c’est un vendu mais je crois que le peuple Kenyan, pas tout mais une partie encourage notre combat
Je te rejoins parce que ce qui se passe en CI fait qu’il y ait beaucoup de Ben Laden en CI, mais en Afrique et même dans le monde entier.
vive e président LG, notre combat continue
Bien à toi
Vergos
2 Mai 2011
Imaginez ce que je pourrais faire avec une puissante bombe dans ma main en plein paris avenue foch ou aux champs elysées ou au trocadero.
je vous le dis pas. un maxi maxi dégât.
Vergos
2 Mai 2011
les photos du PR GBAGBO.
admirez le. il s’appelle monsieur SERENITE. Voyez comment kofi Ana est gêné. et Desmond le Tutu qui ne veut pas lâcher la main du PR.
https://www.facebook.com/media/set/fbx/?set=a.117307068351406.26599.115747708507342#!/media/set/fbx/?set=a.128378517238183.31226.119142914828410&comments=1
nostra-patria
2 Mai 2011
ha oui ben? vous voulez parler de l’homme aux 9 vies ? cet homme est dejà mort plus d’une fois on s’en tappe liberz SEM KOUDOU LAURENT GBAGBO ou bien ?
orso
2 Mai 2011
je suis trop heureux d’avoir vu mon president je suis en pleurs
KACOU ANICET
2 Mai 2011
je suis très content de voir que le Président LG se porte bien et soit logé dans de très bonnes conditions. Bravo a Alassane Ouattara pour cet effort de reconciliation.
LG méritait vraiment de gagner ces dernières elections puisqu’il n’a vraiment pas eu le temps de gouverner avec les hommes de son choix.
parcontre son entourage et lui se trop servi au détriment des ivoiriens
LG doit être beaucoup plus stratège si Dieu lui donne l’occasion de revenir au pouvoir.
en un mot « on ne te demande pas d’aimer ton partenaire, mais d’éviter la souffrance unitile à ton peuple sinon Dieu va te lacher proprement pour repondre à la détresse de ses enfants en prière »
A ceux qui reve encore vous n’etes pas fatigué de marcher sur ce chemin sans issu qui a conduit a l’humiliation de LG. changer de stratégie sa na marche pas comme sa ce monde.
bonne reception à tous
Nsy
2 Mai 2011
@ DIRECT,
Felicitations
OUATTARA LE BON
2 Mai 2011
Chers freres et soeurs vous avez observez Koffi annan le traite observant le President Gbagbo? moi j’y ai note l’admiration, le respect, la reconnaissance de la conviction du president Gbagbo a travers le regard de Koffi.
C’est dire que notre president est reste digne, serein, constant dans son combat……….c’est simplement un Grand combattant dont les caracteres et la conviction doivent etre une boussole pour nous patriotes d’ici et d’ailleurs.
La flamme de la conviction du President Gbagbo doit inscrit en lettre d’or dans notre conscience et reste constamment maintenue allumee par nous Hommes , Femmes et Jeunes de demain, dans notre combat pour une afrique digne, libre , prospere et souveraine.
BLACK IS BEAUTIFUL
2 Mai 2011
Mon oeil, de quel Ben Laden disent ils avoir tué? Des que des elections approchent,ses PEAU DE PORC vont á la chasse pour tuer des etres Humains pour montrer á leurs PORCINS qu’ils sont des heros afin de ce faire elire. Ils oublient que le vrai heros c’est Ben Laden parcequ’il a tué plus de 3000 tetes dans leur propre enclos. En plus les Ben Laden,il y en aura toujours tant que ces porcs sauvages ne resterons pas dans leur enclos. Aussi, faudrait il se demander si ce n’est pas un coup de pub pour faire monter leur cote de popularité,de mort de Ben,il n’en est rien.
BLACK IS BEAUTIFUL
2 Mai 2011
Ouattara le Bon,tu est un tres grand observateur.c’est ce que je me disais tout á l’heure quand j’ai vu les image. koffi anan a un regard qui laisse dire beaucoup de chose sur L’HOMME GBAGBO.Il ne s’attendait pas á voir un si GRAND HOMME. Il est vraiment deboussolé.
OUATTARA LE BON
2 Mai 2011
Le president du kenya merite t-il d’etre president de ce brave peuple du kenya……..non.
Voici un president qui ne sait meme pas que ben laden est la creature des etats unis dans le cadre le politique d’extension de la politique étrangère des USA et du Pentagone.
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source: Infowars, le 30 Mars 2011 (traduction très approximative..)
Dans une vidéo spéciale, Alex Jones appelle l’opération de renseignement d’Al Qaida un « couteau suisse » pour la déstabilisation. Bref, c’est un outil fomenté de la crise qui permet aux mondialistes d’offrir une solution dans des contextes variables.
Aujourd’hui, ‘freelancers’ en Libye; hier, des terroristes ‘dans la guerre de la terreur’. Avant cela, alliés contre la Serbie; dans les années 80, les Combattants de la Liberté. L’ennemi de l’ombre supposément dirigé par Oussama Ben Laden et les tops djihadistes comme Anwar al-Awlaki sont vraiment une extension de la politique étrangère des USA et du Pentagone. Al-Qaïda passe à travers l’échiquier géopolitique selon la volonté de ses maîtres dans l’anneau de renseignement international allié. Ils changent d’identité passant des terroristes à celle de combattants de la liberté sur commande. C’est peut être le plus gros canular gouvernemental … et, mais cette tactique est un des plus anciens tours du livre pour quiconque cherche un État puissant.
video en anglais pour lui permette de comprendre qu’Al-Qaida dirigée à 100% par le Pentagone
BLACK IS BEAUTIFUL
2 Mai 2011
Comme c’est eux meme qui ont organisé leur coup,ils n’ont pas ecouté le command Massoud d’Afgannistan qui etait au courant de l’attentat du 11 sept. Ils l’on tué avec une camera piegée pour activer leur acte diabolique.
la voix de l'afrique
2 Mai 2011
Le bombardement de la Libye au printemps 2011 par les Etats-Unis pour soutenir les clients-rebelles fait partie d’une politique d’interventions militaires en Afrique ininterrompues depuis au moins le milieu des années 1950.
Selon un rapport rédigé par le service de la Recherche du Congrès US (US Congressional Research Service) publié en novembre 2010, Washington a déployé pratiquement tous les ans entre des centaines et plusieurs milliers de troupes, des dizaines d’avions de combat et de navires de guerre pour mettre en place des dictatures clientes ou pour renverser des régimes hostiles dans des dizaines de pays.
Ce rapport montre que les forces armées US sont intervenues 46 fois avant la guerre actuelle en Libye. Les pays qui ont subi une ou plusieurs interventions sont, entre autres : le Congo, le Zaïre, la Libye, le Tchad, la Sierra Leone, la Somalie, le Rwanda, le Liberia, la République Centre-Africaine, le Gabon, la Guinée-Bissau, le Kenya, la Tanzanie, le Soudan, la Côte d’Ivoire, l’Ethiopie, Djibouti et l’Erythrée.
La seule intervention progressiste a eu lieu en Egypte sous la présidence d’Eisenhower qui avait obligé les forces armées israéliennes- françaises et anglaises à se retirer du canal de Suez en 1956.
Entre le milieu des années 1950 jusqu’à la fin des années 1970, il n’y a eu que 4 opérations militaires officielles, même si les opérations militaires de grande envergure menées par procuration et clandestinement étaient pléthore.
Sous la présidence de Reagan-Bush Sr. (1980-1991) les interventions militaires officielles ont nettement augmenté, passant à 8, sans compter les guerres menées à grande échelle par les « forces spéciales » clandestines et les guerres par procuration dans le sud de l’Afrique.
C’est lors de la présidence de Clinton que l’impérialisme militarisé US a pris de l’ampleur en Afrique. Entre 1992 et 2000, il y a eu 17 agressions armées, parmi lesquelles une invasion d’envergure en Somalie et l’aide militaire au régime génocidaire du Rwanda. Clinton est intervenu au Liberia, au Gabon, au Congo et en Sierra Leone pour maintenir au pouvoir les régimes fantoches au pouvoir depuis des lustres.
Il a fait bombarder le Soudan et envoyé des militaires au Kenya et en Ethiopie pour aider les états-clients à attaquer la Somalie.
Avec Bush Jr., il y a eu 15 interventions militaires US, principalement en Afrique Centrale et en Afrique de l’est.
L’invasion et le bombardement de la Libye par le gouvernement Obama n’est que la continuation des méthodes impériales pérennes destinées à consolider le pouvoir des Etats-Unis grâce à l’instauration de régimes clients, l’établissement de bases militaires et la formation et l’endoctrinement d’armées de mercenaires appelés « partenaires de coopération ». Il est indéniable qu’il existe depuis plusieurs décennies une vague montante de militarisme impérial aux Etats-Unis.
La majorité de l’empire africain des Etats-Unis est construite disproportionnellement sur les rapports militaires avec les chefs militaires de leurs clients. Le Pentagone a des liens militaires avec 53 pays africains (y compris en Libye avant l’agression actuelle).
Les efforts de Washington pour militariser l’Afrique et transformer leur armée en une armée de mercenaires qui servent à étouffer les révoltes et les régimes anti-empire sont multipliés après le 11 sept.
L’Administration Bush avait annoncé en 2002 que l’Afrique était une « priorité stratégique de la lutte contre le terrorisme”.
Et de là, les stratèges impériaux, soutenus par les élus du congrès, progressistes et néoconservateurs, ont commencé à centraliser et à coordonner une politique militaire sur tout le continent africain en créant le Commandement des États-Unis pour l’Afrique (l’AFRICOM). Ce dernier est chargé de l’organisation des armées, appelée par euphémisme, “partenariats de coopération” pour mener les guerres néo-coloniales fondées sur des accords bilatéraux (en Ouganda, au Burundi, etc.) et créer également des liens « multilatéraux » avec l’Organisation de l’Unité Africaine.
L’AFRICOM, malgré le rôle qu’on lui avait assigné de servir d’instrument pour propager l’influence impériale, a été plus efficace pour dévaster des pays qu’à s’emparer de ressources et asseoir son pouvoir. La guerre en Somalie, qui a déplacé et tué des millions de personnes et coûté des centaines de millions de dollars, entre dans sa vingtième année, et sans espoir d’issue victorieuse en vue.
A part la plus ancienne néo-colonie US, le Liberia, aucun autre pays n’a accepté qu’AFRICOM installe sa base sur son sol.
Ce qui est très significatif, c’est qu’AFRICOM n’était pas préparé au renversement des régimes de clients importants en Tunisie et en Egypte – des « partenaires » importants qui surveillaient le sud de la Méditerranée, les côtes des pays arabes et la mer Rouge. Malgré la collaboration de la Libye avec AFRICOM, surtout pour les opérations des services secrets “anti-terroristes”, Washington a cru à tort qu’une victoire facile de ses clients « rebelles » pourrait conduire à un régime plus docile, qui offrirait davantage en matière de base militaire, de QG et de source pétrolière bon marché. Aujourd’hui, les Etats-Unis dépendent autant du pétrole africain que leurs fournisseurs du Moyen-Orient.
La présence d’AFRICOM sur tout le continent africain se solde par son incapacité à transformer ces « partenariats » en installation effective de leaders fantoches.
Les mesures prises pour encourager des programmes « civils-militaires » n’ont pas permis d’assurer une base populaire à des régimes de collaborateurs corrompus, très appréciés pour leur disposition à fournir de la chair à canon à l’empire.
La révolte en Afrique du Nord a renversé les figures emblématiques des dictatures soutenues par l’empire. Alors que les révoltes populaires dans les pays arabes se propagent vers le Golfe et intensifient leurs revendications de changements socio-économiques ainsi que politiques, l’empire a contre-attaqué.
AFRICOM a soutenu l’agression en Libye, l’attaque contre le mouvement pour la démocratie menée par la junte militaire au pouvoir en Egypte et compte sur ses « partenaires » autocrates dans le Golfe et la Péninsule Arabique pour noyer dans un bain de sang les mouvements de la société civile.
La militarisation croissante de la politique de l’empire US en Afrique du Nord et dans le Golfe donne lieu à des affrontements historiques entre la révolution arabe pour la démocratie et les satrapes soutenus par l’empire ; entre les Libyens qui luttent pour leur indépendance et les forces navales et aériennes euro-américaines qui dévastent le pays pour le compte de leurs clients locaux incompétents.
James Petras
Texte original en anglais : Washington’s « Long War » against Africa, publié le 27 avril 2011.
Traduction emcee, des bassines et du zèle pour Le Grand Soir.
James Petras, ex-professeur de sociologie à Binghamton University, New York, militant de la lutte des classes depuis cinquante ans, conseiller pour les sans-terre et les sans-droits au Brésil et en Argentine, a coécrit « Globalization Unmasked (Zed Books).
James Petras est un collaborateur régulier de Mondialisation.ca. Articles de James Petras publiés par Mondialisation.ca
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Dedieu
2 Mai 2011
Ben Laden, agent américain, a été tué fin 2001 par ses maitres. Benazir Bhutto avait même dit le nom de celui qui l’avait exécuté dans une vidéo (disponible sur la toile) avant d’être elle même assassinée. C’est grand guignol, cinéma et foutaises, les balivernes qui nous sont servies réchauffées. La « nouvelle » n’a pour seul but que de redorer le blason de « l’oncle Tom », l’esclave comédien et servile appelé Obama. Les médias yankees et sionistes nous bercent d’hollywood chaque jour un peu plus, mais ils ne trompent que les naïfs et les crédules. Nous vivons les temps du règne des mensonges, le prince de ce monde est le diable, seul le Christ nous en délivrera dans l’apocalypse (la levée des voiles, la fin des mensonges) finale. Puisse Dieu nous garder.
orso
3 Mai 2011
urgent urgent a lire absolument pour continuer la resistance !!!
a tous les resistants sinceres et reels svp
il est anormal de s’eloigner de la lutte de cette facon en voulant repondre aux differents post des pro ouattara qui reagissent expres pour nous nous piquer au vif afin de detourner notre attention des reelles actions concretes qu’on doit mener partout qui passent par les mot d’ordre a suivre a travers des proposition realiste a realiser entre ceux et celles qui sont a l’interieur et a lexterieur du pays pour coordonner tout ca.
a moins que je ne me trompe ce site de directscoop est un site pour mener la resistance ivoirienne et africaine contre l’axe du mal (onu france etats unis ) afin de liberer la cote d’ivoire et toute lafrique francophone de la france parasite notre veritable ennemie et de ses valets locaux comme ouattara et soro.
chers resistant regardez vous meme svp en prenant un peu de recul en voyant un peu la plupart des post ci dessus ecrit pour repondre et contrattaquer futilement aux provocations des pro ouattara est cela la resistance contre ouattara et la france?
doit on repondre coute que coute aux pro ouattara qui sont victime soit de lignorance soit de leur egoisme en sacrifiant la cote d’ivoire au sous developpement soit victime du complexe d’inferiorité qui se disent sans la france et loccidennt la cote d’ivoire ne pourra s’en sortir, soit victime du fameux syndrome de stockolm qui fait en sorte que le bourreau geolier qui a pris en otage une personne victime de son rapt que la victime de cet enlevement soit sous le charme et l’admiration de son tombeur et tueur criminel qui lui a fait et fait pourtant du mal en ne le voyant qu’en terme de sauveur et liberateur pour sa personne.
ici les pro ouattara victime du sous developpement dans leur pays perpetrer continuellement par la france a travers sa francafrique et ses valets locaux africains comme ouattara.
ce qui est vrai c’est que quand la CI et l’afrique sera liberer de son bourreau la france les descendants et eux memes ces pro ouattara seront contents de vivre dans un pays et une afrique noire francophone prospere et veritablement liberé et maitre de son destin pour amorcer le vrai developpement pas celui que le fmi la bm lunion europeenne les usa lonu la france nous dictent et qui ne corespondent en rien a nos pays et notre continent au contraire ca nous appauvri encore plus.
apres tout les descendant du marechal petain et ses collabo vivent mieux et profite des bienfaits d’un france totalement liberee du nazisme et prospere dans la paix reelle sans contrainte alors que petains et ses collabos pensaient farouchement le contraire pour eux collabo la soumission a hitler etait la regle donc en ce qui nous concerne l’histoire du monde se repete pour etre une grande nation il faut passer malheureusement par la aucun peuple au monde ne peut liberer un autre.
soyons donc concentrer ne nous perdons surtout pas en conjecture du fait de nos adversaires qui veulent nous disperser et deconcentrer . ne refaisons plus les memes erreurs.
vous passez votre temps a tomber dans le piege du debat contradictoire et sterile mener consciensement par les pro ouattara pour vous eloigner de notre but essentiel celui d’organiser et de planifier des action fortes de resistance par tous les moyens pour empecher ouattara de travailler sur tous les plans comme l’ont fait les resistant francais en 40 et 45 contre les collabos et hitler
nous ne sommes plus la pour mener des debats contradictoire de pseudo intellectuels entre les pro ouattara et pro gbagbo notre combat a mon humble avis est directement dirigé contre la politique francaise de la francafrique en cote d’ivoire et en afrique en combattant ouattara qui est leur eleve.
si les pro ouattara ecrive des post titillant ignorez les et demandons aussitot a directscoop leur blocage sans repondre a ces post des pro ouattara
nous n’avons pas a etre complexé de quoi que ce soit c’est notre liberté de ne plus traiter et discuter avec ces pro ouattara inutilement
leur strategie est de casser la dynamique de resistance qui les derange pour nous conduire et nous focaliser dans les debats idiot entre pro ouattara et pro gbagbo
nous notre combat c’est contre la politique francaise en afrique noire francophone en commencant par la cote d’ivoire a travers ouattara son valet local qui est la pour nous maintenir au sous developpement pour le bonheur de leur dirigeant et du bien etre de leur peuple
svp revenons a nos fondamentaux lheure est grave tres grave ouattara avec larmee francaise tue les civil innocent ivoiriens a yopougon et partout dans le pays il faut les chasser du pays
si les pro ouattara ne sont pas d’accord avec nous libre a eux mais ne leur laissons pas le droit de nous dicter et orienter malicieusement les debats qui n’ont qu’un seul but rendre inefficace la resitance ivoirienne et africaine contre la francafrique qui tue plus que le sida en afrique depuis de plus de 50 ans
chers resistants la francafrique est un vrai fleau contre les peuples d’afrique francophone avec des president vigiles africains qui sont eux aussi des veritables maux et fleau pour le developpement reel du continent
ce qui nous tue africains et ivoiriens ces des querelles de personnes comme les adore les pro ouattara pour faire passer le temps en se complaisant dans l’imbecilité dans laquelle nous ont enfermé et veut continuer a nous enfermer le systeme politique francais en afrique
comprenez que nous nous entendra jamais en tout cas pour lintstan avec les pro ouattara
et c’est normal car ce n’est pas la premiere fois que cela arrive dans lhistoire des peuples dans le monde par exemple en france dans les annees 40 yavait aussi des collabo et resistants qui ne sentendaient pas du tout
a prendre tres au serieux chers resistants svp pour la survie de la resitance les pro ouattara menace l’exixtence meme de la resistance evitons de tomber dans leur piege svp j’insiste
la france a travers ces collabos locaux au visage noir africain nous ont assez perdu du temps et causer d’enorme retard dans la liberation politique diplomatique economique et monnetaire de la cote d’ivoire et de lafrique noire francophone
lheure est desormais a l’action et la concentration pour nous jeune generation noire africaine
la france veut meme controler le destin des peuples africains et ivoiriens en tentant par des moyens voyous et crapuleux de les soumettre a sa dictature par son armee loin des regard des citoyens francais vivant en france en nous bombardant et en tuant les populations civiles alors qu’elle est censee soit disant les proteger dans le silence total des medias francais qui ont pour nouvelles mission de faire croire au monde par les mensonges officiels que la guerre est finie et que tout va bien en cote d’ivoire alors que ke la licorne continue a tuer les civil ivoirens avec les rebelles de ouattara et la communauté internationale ainsi que la vuvuzela de leur organisation des droit de lome financé par loccident ont disparu avec eux leur cpi
tout ca pour saccaparer nos richesse naturelle et le petrole au golf de guinee en cote d’ivoire don gratuit de Dieu
la france fait primer ses interet economique en tentant de faire maladroitement diversion en affichant devant le monde entier a travers ses medias francais menteurs de facon honteuse et trompeuse des declaration officielles mensongeres de grand principes democratiques dont la france n’a aucun interet a voir reellement s’appliquer en cote d’ivoire et en afrique au risque de voir la france elle s’ecrouler economiquement et financierement et devenir mendiante comme le portugal
resistant refusant et rejetant systematiquement les discussion inutiles et reconciliation stupide des pro ouattara tant que la france s’occupera toujours de nos problemes interieur dans nos pays et en afrique noire francophone nous n’aurions jamais la paix et le developpement reel chez nous
il faut donc tout faire pour la neutraliser et la bouter dehors c’est le sens de cette lutte et resistance ivoirienne et africaine
ca prendra le temps qe ca prendra nous sommes partis pour longtemps mais la victoire elle est bien certaine
ainsi va la vie
merci
jules
3 Mai 2011
Les maitres de la manipulation ont encore frappé, les americains et leur mensonges n’ont pas de limites; ils prennent le monde pour des idiots. ils n’ont jamais tué ben laden et meme si c’etait le cas, comme d’habitude ils l’auraient d’abord humilié devant toutes les televisions du monde.
alors laissez nous rire, nous presenter une photo maquillée de ben laden n’emeut que le peuple americains.le mensonge et la manipulation sont les armes des occidentaux pour nous laisser croire qu’ils sont les maitres du monde.
il n’ y a que qu’un seul maitre : c’est l’Eternel notre Dieu.alors monsieurs les blancs il faut tromper les canards.
suportech
3 Mai 2011
La preuve inéluctable que les américains n’ont pas tués Oussama Ben Laden.
Les hypothèses sont les suivantes:
– ben laden n’est pas mort
– Ou alors les américains savent de source sûre qu’il est mort.
http://esociety.over-blog.com/article-ben-laden-n-est-pas-mort-73075755.html
ingrid
3 Mai 2011
Toute cette histoire de Bin Laden des mansonges et encore des mansonges. C’est pour qu’ils puisse quitter l’Afghanistan sans honte!
BIANDZI ELOBO Jean-Paul
3 Mai 2011
C’est vrai que l’on est et restera toujours choqué face à la mort.Toutefois,la mort ne devrait pas nous éloigner du chemin du questionnement permanent qui fait de nous des humains.Cela dit,en quoi la prétendue mort de Ben Laden nous serait elle profitable?A mon avis à rien.Ce cher monsieur,je ne l’ai jamais connu et il n’ a jamais été mon ennemi no 1 encore moins l’ennemi no 1 de mon pays le Cameroun.Ce sont les « forts de ce monde » qui l’ont amené jusqu’à moi par médias interposés et c’est encore eux qui ont prétendu l’avoir retiré de la circulation.Qui était -il?Où vivait-il? Que faisait-il?Je ne suis pas sur qu’il existe un homme, en Afrique, qui soit à même de répondre à ces questions.
Aussi qu’est ce qui donne le droit aux Etats -Unis d’amérique de violer un territoire étranger pour tuer un soit disant terroriste qui, jusqu’ici ,n’a de près ou de loin jamais été jugé coupable des faits qui lui étaient reprochés.Ben Laden restera le mystère des américains…Qu’est ce qu’on ne peut pas faire pour justifier la bétise humaine!!!!!!!!!!!!!!
BIANDZI ELOBO Jean-Paul
3 Mai 2011
Ben Laden, les Etats-Unis l’ont amené jusqu’à mous par médias interposés et c’est encore eux qui prétende l’avoir retiré de la circulation…Que la mort ne nous éloigne pas du chemin du questionnement permanent.Ben Laden restera le mystère américain.Mais qu’est ce que l’on ne peut pas faire pour justifier la bétise humaine.