MOGADISCIO – De violents combats ont éclaté jeudi entre les forces gouvernementales, appuyées par des troupes de l’Union Africaine contre un bastion des islamistes armés Shebab, a-t-on appris de sources officielles.
Selon des témoins, des soldats de l’Amisom, appuyés par des chars, ont franchi une grande avenue qui marque la ligne de front et donne accés à Bakara.
« Les affrontements sont très violents, impliquant des tanks de l’Amisom », a expliqué un habitant de Suqbacad. « Les rares personnes qui vivaient encore par ici ont tous fui », a-t-il ajouté.
« Il y a d’intenses combats en plusieurs endroits de Mogadiscio, mais il est trop tôt pour connaître le nombre de victimes », a indiqué Ali Muse, le chef du service des ambulances de la capitale somalienne, qui a déjà fait état de plusieurs civils blessés.
Cette nouvelle attaque de l’Amisom intervient au lendemain du début d’un pont aérien du Programme alimentaire mondial (PAM) pour venir en aide aux victimes de la sécheresse dans le pays.
Malcom X
28 juillet 2011
C’est le probleme des colons et leurs valets. Au moment ou le programme d’aide est declenche, il y a quelle raison pour attaquer des positions pour mettre en mal la population qui souffre deja de la faim. Il veulent profiter de la situation d’aide humanitaire pour desequilibrer les positions enemi sans tenir compte des morts que cela pourrait engendrer
OUATTARA LE BON
28 juillet 2011
Les troupes de l’UA appuient les forces somaliennes pour combattre les Islamistes …….n’importe quoi………ces troupes etaient où lorsque la coalition france et rebelles attaquait le peuple de Côte dIvoire?……où ces forces sont elles cachées en ce moment face à l’otan cette organisation terroriste et sanguinaire qui attaque et bombarde le vaillant Peuple libyen et veut faire la peau a Kadhafi cet autre digne fils de l’Afrique………..trchrooooooooooouuuuuu.
stev 2
28 juillet 2011
bonne nouvelle a moins ke les islamistes shebab soient des »dignes fils d’afrique » lol
OUATTARA LE BON
28 juillet 2011
Ouattara au pouvoir, les ivoiriens angoissés
source: abidjandirect
auteur : Marc Micaël
Pauvre Côte d’Ivoire. Après avoir vécu les affres de la guerre postélectorale, elle est en ce moment même, loin de s’être remise de ses douloureux traumatismes. Pour cause, l’on annonce ça et là, ces derniers jours, des menaces d’attaques, de déstabilisation, de coup d’état… Tantôt soupçonnées de venir de l’extérieur, tantôt supposées venir du sein même des éléments FRCI de Soro Guillaume, mécontents. A cette anxiété totale s’ajoute la toute dernière prophétie apocalyptique du pasteur Koné Malachie. La panique est alors montée d’un cran. On entend par-ci et par-là les échos de certains habitants qui auraient déjà commencé à faire leurs provisions en prélude à l’imminente ‘’guerre de six jours’’ prédite par Malachie. D’autres quant à eux, s’apprêteraient à quitter les villes et communes mentionnées dans la prophétie, avant le 1er ou le 02 du mois d’août prochain. Au regard de la situation sociopolitique en Côte d’Ivoire, cette angoisse grandissante que vivent les populations, ne se limite pas qu’à la déstabilisation du régime en place. Elle touche aussi les différentes couches sociales. Les fonctionnaires et agents de l’Etat, les élèves et étudiants, les parents d’élèves, les agents de la santé et les ménages, sont les plus exposés. De quelle façon, depuis bientôt cinq mois, la politique peu scrupuleuse initiée par Alassane Ouattara a-t-elle contribué à exaspérer cette peur intense face au sentiment d’un danger imminent ? Mais encore, comment interpréter cet état d’esprit devenu le quotidien des ivoiriens ?
Alassane Ouattara a toujours rêvé du pouvoir. Il l’a longtemps convoité. Il a voulu ce pouvoir coûte que coûte. Grâce à la puissance des armes, il semble être parvenu à ses fins. Aujourd’hui, aux affaires, il se trouve confronté aux dures réalités de l’exercice du pouvoir d’Etat. Passé l’euphorie de sa victoire usurpée, de la prestation de serment et de la cérémonie d’investiture. Il se rend certainement à l’évidence que les choses ne sont pas aussi simples qu’elles l’étaient lors de sa fonction de premier ministre sous Houphouët Boigny (paix à son âme).
L’exercice du pouvoir d’Etat doit prendre en compte le vécu quotidien des populations, et leurs aspirations. Il doit surtout refléter le programme de société sur lequel l’on a été élu. Or, les ivoiriens vivent dans l’anxiété car ils ne voient rien de rassurant poindre à l’horizon. Fini donc l’étape des promesses farfelues: des pluies de milliards, et autres universités à construire chaque année, des collèges à bâtir chaque mois, d’hypothétiques soins gratuits, etc. Ils s’interrogent avec beaucoup d’appréhensions sur leurs lendemains. Avec la peur de ne savoir à quelle sauce ils seront bientôt mangés. Cette situation affecte en effet toutes les couches sociales. Notamment: les fonctionnaires et agents de l’Etat, naguères payés sous l’ancien régime, dès le 22 du mois en cours, vivent les fins de mois avec beaucoup d’inquiétudes. Avec Ouattara, ils ne savent plus si les virements seront effectifs, ni quand exactement ils seront faits. Cette peur est d’autant plus accentuée par la crainte de voir leurs salaires subir une diminution ou leurs avantages être systématiquement supprimés. Ces travailleurs de l’Etat n’ignorent en effet pas qu’ils ont en face d’eux le champion des mesures d’austérités des années 1990 à 1993 en Côte d’Ivoire. Mesures inoubliables qui demeurent des malheureux souvenirs pour bon nombre d’ivoiriens.
Au niveau scolaire, la situation n’est pas moins alarmante : Avec les différents examens de fin d’année qui s’annoncent, le cauchemar est partagé entre les parents et les élèves eux-mêmes. Sachant d’avance, au vu des nombreuses perturbations qu’a subit l’école ivoirienne, que les résultats s’annoncent catastrophiques. A moins qu’une vaste opération de fraudes massives au sommet, ne soit ficelée d’avance. En fait, les traumatismes subis par les uns et les autres et les désordres survenus dans ce secteur n’ont pas interpellé Alassane Ouattara et son équipe. Ouattara voulant à tout prix, selon ses proches : « Se préserver du déshonneur d’une année blanche ». Et cela, au détriment des acteurs du système éducatif eux-mêmes. D’ailleurs, la patronne de ce ministère, Mme Kandia Camara est loin de rassurer ces derniers, eu égards ses grosses boulettes devant les médias. Selon certains enseignants, elle gagnerait à prendre des cours de mise à niveau.
Dans l’enseignement supérieur, la crainte d’une année blanche n’est plus à écarter. Ces nombreux étudiants savent pertinemment qu’ils sont entrain de subir la vengeance du ‘’brave-tchè’’. Selon un quotidien de la place: « le pouvoir règle ses comptes aux étudiants qui ont refusé de recevoir Alassane Ouattara qui battait campagne en novembre 2010 ». Plus loin, on peut y lire: « il (Ouattara ndlr) craint fort que la contestation de son pouvoir ne parte des étudiants si on les laisse se regrouper facilement. Dans le milieu universitaire, il existe une force difficile à maîtriser qui se nomme la Fesci. Le chef d’Etat, Alassane Dramane Ouattara, manifeste une peur bleue de cette organisation estudiantine qui ne recule devant rien ». Les étudiants sont, à n’en point douter dans le viseur de Ouattara. On annonce même dans ce secteur la privatisation des cités universitaires. L’on devra s’attendre aussi à un renvoi massif d’étudiants certainement déjà ciblés. Sans compter la réduction inévitable, et peut-être la suppression pure et simple de la bourse d’étudiant.
L’angoisse ne s’arrête pas là, elle s’étend aussi au domaine médical. En effet, de la gratuité des soins annoncée, il n’en est rien. Le corps médical (médecins, infirmiers, etc.) crie chaque jour son désarroi. Isabelle Glah, médecin ivoirien, lance cet appel de détresse : « aidez […] le corps médical de Côte d’Ivoire afin que l’hôpital ne se meurt pas. Car contrairement à tout ce qui se dit officiellement, c’est la catastrophe! Les médecins sont déprimés, découragés et épuisés. Pas de médicaments, ni d’infrastructures pour accueillir le flot de malades qui nous arrive de plus en plus nombreux! ». Mais ADO qui est passé sur le corps de nombreux cadavres ivoiriens pour s’asseoir sur le fauteuil présidentiel, fait mine de ne rien y entendre, au grand dame des patients qui souffrent.
Dans les ménages, les femmes sont stressées à l’idée de devoir prendre la route du marché ou d’aller à la boutique, faire des achats. La cherté de la vie tantôt dénoncée à cor et à cri par le RHDP au temps de Gbagbo, ne s’est point améliorée avec l’arrivée de Ouattara. Bien au contraire. Les paniers sont remplacés désormais par des sachets noirs. Les prix des denrées de première nécessité n’obéissent plus à aucune règle mais plutôt la loi de l’anarchie.
Partout dans les rues, dans les familles, dans les bureaux et les administrations, l’angoisse est palpable. L’avenir immédiat de ce pays aux mains d’un individu sur qui les doutes subsistent, reste encore flou. Les ivoiriens ont peur. Pour leur avenir, pour l’avenir de leurs enfants, pour leurs biens et pour leur pays. Pas besoin donc d’être un expert pour comprendre : cette angoisse ambiante est la résultante même de la politique approximative d’Alassane et de son équipe gouvernementale, truffées d’incompétents. Comme le dirait l’autre : « On ne peut pas faire confiance à celui qu’on n’a pas choisi ». Remettant au goût du jour l’épineuse question de la légitimité du nouveau locataire du palais, bombardé président de la république par une ‘’pseudo-communauté internationale’’.
OUATTARA LE BON
28 juillet 2011
PANIQUE DANS LE CAMP OUATTARA: WATTAO AU GHANA DEPUIS HIER POUR DÉSAMORCER LA BOMBE.
source: l’inter
Alors que la rumeur d’un coup de force militaire contre le régime Ouattara enfle à Abidjan, le chef rebelle Issiaka Ouattara dit Wattao est parti au Ghana, hier mercredi 27 juillet 2011. C’est que des milliers d’Ivoiriens, civils et militaires pour la plupart proche du président Laurent Gbagbo, ont trouvé refuge dans ce pays voisin à la Côte d’Ivoire.
«Je vais au Ghana aujourd’hui (mercredi 27 juillet 2011, Ndlr) et je serai de retour vendredi( 29 juillet 2011). Je vais travailler pour le pays, c’est tout ce que je peux vous dire. Quand je serai de retour, on va se voir pour parler », nous a confié hier Wattao, au téléphone, quelques heures avant de quitter Abidjan.
Si l’ancien chef d’Etat-major adjoint des Forces rebelles du nord n’a pas voulu en dire davantage sur le contenu de sa mission, de bonnes sources indiquent que son voyage au Ghana vise, pour lui, à avoir un contact physique avec les Ivoiriens exilés depuis plusieurs mois dans ce pays. D’ailleurs, au cours d’un meeting mardi dernier à Port-Bouët, le chef rebelle Wattao avait clairement affiché sa volonté d’aller à la rencontre des Ivoiriens réfugiés au pays d’Atta Mills pour leur demander de rentrer en Côte d’Ivoire et proposer un schémas de discussion avec le camp Ouattara dont il est issu.
Comme l’avait annoncé le COM’THEATRE dans son message à la nation hier, Wattao participera à la discussion avec certains de ministres de Ouattara envoyés aussi en mission pour « calmer les esprits » selon les propres termes de Ouattara.
Hier, Wattao a donc joint l’acte à la parole au moment où une tentative de déstabilisation du pouvoir Ouattara fait grand bruit à Abidjan.
Déjà des voix se lèvent pour dire non à cette négociation, que beaucoup de patriotes voient voient comme une tentative de diversion du camp Ouattara pour gagner du temps afin de mieux s’organiser pour parer à toute éventualité.
OUATTARA LE BON
28 juillet 2011
Côte d’Ivoire/Panique au sommet de l’Etat : Le colonel de gendarmerie Adou Donga mis aux arrêts hier pour atteinte à la sûreté de l’Etat
jeu, 28 juill. 2011 – Abidjan Business Actualités
auteur atrice Lecomte
Selon une source digne de foi et relayée ce jour par les confrères Le Patrioteet Le Nouveau Réveil, le Colonel de gendarmerie Adou Donga, ex-chef de cabinet du général Kassaraté Tiapé Edouard, a été mis aux arrêts hier au petit matin par un détachement des FRCI, pour atteinte à la sûreté de l’Etat. Autrement dit, il est accusé d’avoir voulu faire un coup d’Etat.Selon notre source, une perquisition au domicile du Colonel Adou Donga aurait permis de mettre la main sur un important arsenal de guerre.Le Colonel serait accusé de tenir des réunions clandestines pour destabiliser le pouvoir et d’avoir des contacts avec des ex-Fds basés dans un pays étranger, voisin de la Côte d’Ivoire.
Il a été mis aux arrêts et serait détenu au camp commando de Koumassi pour les besoins de l’enquête.
Cette arrestation de ce haut gradé de l’armée ivoirienne est révélatrice de la panique et de la fébrilité qui animent le régime d’Alassane Ouattara, qui voit des coups d’Etat partout.
En effet, il ne se passe pas un seul jour sans que des rumeurs de coups et d’atteinte à la sûreté de l’Etat ne fassent la Une des gazettes locales.
Abidjan bruit en permanence de ce genre de rumeurs qui sont de nature à plomber le redémarrage économique du pays, après 4 mois de crise postélectorale. Car l’argent n’aime pas le bruit, notamment les bruits de bottes.
La preuve, plus de trois mois après sa prise de pouvoir, rien ou presque n’a été accompli par le régime d’Alassane Ouattara en faveur des populations. Seules les arrestations et les gels et dégels des avoirs des pro-Gbagbo sont sa priorité. Le panier de la ménagère est désespérément vide et l’insécurité totale. Selon Amnesty international, c’est un climat de peur qui règne en Côte d’Ivoire, où plus personne n’ose s’aventurer dehors après 20H. Les FRCI sont d’ailleurs qualifiés par l’Onuci comme une force mortelle, qui tue impunement des personnes ou membres d’ethnies supposées avoir soutenu le Président Gbagbo.
Vivement que cesse ces arrestations d’honnêtes citoyens qui n’aspirent qu’a vivre librement dans leur pays.La vraie menace réside à l’intérieur des FRCI et au sommet de l’Etat.
Tout le monde sait la méfiance qui existe entre Alassane Ouattara et son Premier ministre Guillaume. C’est à qui va dégainer le premier.D’autre part, Alassane Ouattara a déclaré la guerre aux chefs de guerre Cherif Ousmane, Wattao, Zacharia, Vetcho, Morou, Ousmane Coulibaly, qu’il ne souhaite plus voir dans son périmètre immédiat. Pour entrer à la présidence, ces derniers doivent être préalablement désarmés, ce qu’ils n’ont pas du tout goûté.Voilà la vraie menace contre le régime Ouattara, et non d’honnêtes Colonels comme Adou Donga, dont l’arrestation pue la manipulation à mille lieux.
aristide
28 juillet 2011
ce sont les troupes ethiopiennes soutenus par la cia on le sait
OUATTARA LE BON
28 juillet 2011
Cote Ivoire : Ouattara chez Obama, et ses crimes sont tolérés
Afrik 53 – Jeudi 28 Juillet 2011
source:Gervais Mboumba, militant des droits de l’homme
«Les criminels seront punis». Telle est la phrase propre à un criminel-président, Ouattara, le nouveau préfet imposé aux ivoiriens par Sarkozy, Obama et l’ONU.
Tout ce que Ouattara oublie, c’est le dernier jour de son pouvoir. Il sait dans quelles conditions il y est arrivé, mais ignore les conditions dans lesquelles il partira. Il jubile, il tue, il place les mots dans les trous de cul, il menace, il emprisonne des partisans de Laurent Gbagbo même des innocents comme le fils et le frère de Laurent Gbagbo. Sûrement qu’il n’a aucune gêne dans ses vieilles cuisses d’homme de 70 ans bien sonnés, et comme c’est bizarre de voir un pion du FMI même à cet âge, on l’a commis de venir diriger un pays qui n’est pas le sien, après avoir mis en bouillie des populations civiles dans toute la Côte d’Ivoire, il faut dire qu’il n’est qu’une petite personne téléguidée à souhait par la France et les Etats-Unis. Ouattara parle des criminels, tout en oubliant qu’il en est le premier. Si l’on compte les crimes de Ouattara depuis 1999, l’on dira que cet individu en a trop fait. Mais puisque les crimes de Ouattara sont confondus à ceux de la France et de l’ONU, sa protection s’avère nécessaire pour la France colonisatrice et l’ONU mercantiliste dont nombre de pays portent encore des stigmates de guerres atroces provoquées par ce machin… Ouattara se voit en chef suprême de la Côte d’Ivoire avec une armée des dozos dont certains sont repérés en occident pour vendre la kolas, selon la version officielle, mais ne constituent en réalité qu’un essaim de marabouts rasant de pays en pays, de ville en ville en occident pour surveiller et maudire tout ivoirien qui osera condamner les crimes de Ouattara le burkinabé porté à la tête de la Côte d’Ivoire dans la violence , le braquage et l’irrégularité voulues par la France.
Ce type d’arrangement est propre à la France et à certains pays occidentaux de faire des voyous, des bons chefs d’État à imposer coute que coute aux peuples souverains des pays concerné.
Et que font les Africains ? Ils assistent, ils complotent, ils ricanent.
Il me semble que les africains sont des vrais responsables de leurs malheurs.
René Dumont a sûrement le mérite de critiquer l’Afrique aux premières heures de l’indépendance, sans trop penser qu’il se moquait des nouveaux dirigeants africains de l’époque des indépendances, mais son discours était clairement orienté vers les anciens pays colonisateurs comme la France qui ont fait volte-face avec les mêmes missions de colonisation et de domination. Même Senghor l’intellectuel a «sénégalaisement» critiqué René Dumont y compris Marie-France Mottin qui avaient déjà vu loin. Quelle idiotie pour ce Senghor le gesticulant ! Oui, il faut le dire. René Dumont constate que l’Afrique est mal partie. Plus loin, il parle de l’Afrique étranglée. Ce n’est qu’après que Senghor lui a donné raison. Regardez bien un pays comme le Sénégal. Qu’est-ce qu’il y’a comme développement ? Il n’y a qu’une bande des théoriciens qui écument ce pays depuis l’indépendance. Voilà pourquoi les jeunes de ce pays laissent des plumes sous les eaux cruelles des mers. Les Économistes bidon du genre Ouattara et Coulibaly, continuent à pomper de l’air, sinon qu’à aligner des nombreux morts parmi cette jeunesse que Laurent Gbagbo a voulu sensibiliser. J’ai l’impression que chaque discours diffère de chaque homme d’État dans une Afrique truffée de bêtisiers dont le rêve au pouvoir est un espoir de vie pour bouffer, rien que bouffer avec madame et enfants sans songer au réel développement du pays. Ce cas est si flagrant qu’à ce jour, à l’exception de Laurent Gbagbo, tous les chefs d’État africains ressemblent à une bande des cafouilleurs au discours mielleux sans pratique.
De Sassou Nguesso à Toumani Touré : l’homme de va et vient, en passant par Paul Biya ou le défunt Bongo Ondimba ou son fils adoptif Ali, jusqu’à Bozizé, Paul Kagamé et bien d’autres races de chefs d’État africains, tous ne fument que du tabac à phrases pompeuses tant ils sont incohérents dans la gestion et dans leur action gouvernementale respective du reste pleine gabegie et de vol, les populations n’ont que des mains en l’air pour implorer Dieu peut-être qu’il leur enverra un bout de pain. Ce n’est pas croyable de voir des voyous chefs-d ’Etat au pouvoir en Afrique en léchant le cul des colonisateurs de la trempe de Sarkozy et bien d’autres… Manquant de tact, et surtout de conscience devant l’état dans lequel se trouvent ces pays que d’autres voyous dirigeants européens ont pillés, les chefs d’État d’Afrique , anciens ou nouveaux comme les Ouattara, tous ont l’art de baisser les petites culottes, lorsqu’il s’agit de défendre les intérêts de l’Afrique.
Ils n’ont jamais eu honte. Sinon, voir des chefs d’État africains se faire manipuler par des petits occidentaux à la queue leu leu…, cela dérange toute la jeunesse africaine. Puisqu’il s’agit bien des petites personnes, au vu de leur attitude et leur comportement, bien que voulant toujours pomper un grand français devant les micros qu’on leur tend, ils ne sont que des tigres en papiers. Prions chers jeunes africains ! Prions, car à l’allure où vont les choses, l’Afrique sera totalement expropriée aux africains.
fleur
28 juillet 2011
@mes freres et soeurs chretiens,allez lire la prophetie sur la cote d’ivoire sur « le glaive tranchant ».assurement,la delivrance du pays arrive,ce site appartient a la prophetesse deborah.si quelqu’un peut copier la prophetie ici.merci
Vergos
28 juillet 2011
@fleur.
c’est fait.
http://deborah33epee.blogspot.com/
stev 2
28 juillet 2011
fleur vous en etes encore a ces propheties vous etes charlatans maintenant ou bien depuis vous prophetisez la rien ne s’est realiser vous voulez pas kitter dedans malachie, coeur dans sauce graine nuage dan bra de mangou tout ca gagne pas guerre hein
fleur
28 juillet 2011
steve,je te croyais au ghana,oqp avec ton boulot.mon frere,laisse nous dans nos reves si telle est ta position.arrete de te moquer des gens,ce n’est pas bien.tu dis que nous sommes des resistants de salon,he bien laisse nous dans nos salons et rejoins tes pairs celebrer votre »victoire ».que fais tu constemment sur ce site?ou bien,tu ne connais pas « abidjan net ».
wané
28 juillet 2011
dit donc comme deborah et naomie bhetel ont le même style d’écriture!
hummmmmmmmm! je sens une grande manoeuvre à n’en plus finir.
eh la france yako!
nous autre nous sommes sereins car la prophetie de malachie la première et celle de dali claude courrent à leur accomplissement. j’ai totale confiance en mon DIEU car il est puissant.toutes les manoeuvres de l’ennemi pour m’en detourner sont toute vouées à l’échec.
au demeurrant quoi qu’ils fassent , ils rentrent dans le plan de DIEU car ils verront tous sa grande gloire. AMEN
merci chere @fleur pour cette autre prophetie mais tu sais ne t’embales pas trop vite à la moindre prophetie. ton DIEU est puissant et il est entrain d’agir. crois seulement.
sois benit soeur au nom de JESUS;
orso
28 juillet 2011
desolé de choker certain, vous m’excuserez d’avance si c’est le cas, je pense ke la vraie prophetie ces ce ke nou meme nou realison dan notre determination dans un combat car Dieu nou donne le courage d’agir et de combatre lennemi apres nou avoir promi la victoire par des signes, des reves des songes et porphetie (don de voyance).
mais cette victoire divine promise nest jamais la promesse de la facilité dixit laurent gbagbo.
c’est pourkoi pour avoir cette victoire promise, il fodra etre nou meme les homme de terrain (se trouvant dans l’action ) ke Dieu utilise pour retablir lordre.
batton nou comme cest pas permi pour liberer notre pays des main du diable.
Dieu lui sera toujours là pour combattre avec nous l’ennemi!
Agent007
28 juillet 2011
ALERTE! ALERTE! ALERTE!
ALASSANE DRAMANE OUATTARA LE BOUCHER DE SINDOU(BF), LE CANCRE!
Vous avez dit Dr. en économie? Mon oeil!
Ecoutez les niaiseries du Boucher de Sindou(bf) à l’ONU.
1- Je me pose la question de savoir s’il a obtenu les 525 pts exigés au TOEFL( Test of English as a Foreign Language)
2- J’aimerais bien connaître son GPA ( Grade Point Average) à l’université de PA.
3- Il doit revoir dans tous les cas ses leçons de ESL ( English as a Second Language ).
http://www.unmultimedia.org/radio/library/2011/07/39914.html
Agent007
28 juillet 2011
LE BOUCHER DE SINDOU(BF) DOCTEUR EN MENSONGE DEVANT L’ETERNEL!
Il a toujours menti sans vergogne. Tout ce qu’il a dit à l’ONU est un gros tissu de mensonges. Le mensonge le plus grossier qui a retenu mon attention est celui deversé sur le journaliste de la RTI Hermann Aboa.
1-Le boucher de Sind0u déclare sans gêne que Hermann Aboa animait l’émission Etat de Droits! Archi faux!
Hermann Aboa animait plutôt l’émission Raison D’Etat sur la RTI. Par contre l’émission Etat de Droits dont le boucher fait allusion passait en pleine crise post-électorale sur TCI ( TV Pirate) et animée par une certaine Habiba ou Fatou.
2-Le boucher de Sindou soutient ensuite que l’émission d’Hermann à la RTI inciterait à la tuerie et à la haine tribale comme ce fut le cas de la radio Mille Collines au Rwanda.Encore et encore archi faux!
Sachez que la radio Mille Collines appelait au massacre systematique de tous les tutsis désignés comme des cafards (cockroaches en Anglais).
Nulle part, je n’ai vu ni entendu la RTI encore moins Hermann Aboa tenir ces genres de propos appelant au massacre d’un groupe ethnique.
3-Le boucher de Sindou dit enfin que Hermann Aboa aurait reçu de l’argent de la part du PRESIDENT SEM LAURENT GBAGBO pour acheter des armes . Et que ces armes auraient été rémises par Harmann aux miliciens pro-GBAGNO pour tuer les ivoiriens. Encore ,encore et encore archi faux!
Haï ! Le boucher de sindou es-tu né avant la honte?
Je ne suis guère surpris que le Boucher de Sindou deverse ses inepties sur notre Cher Harmann Aboa. Le boucher de Sindou(bf) avait dit dans sa bouche tordue en fevrier 1992 avoir vu avec ses yeux de lucifer le PRESIDENT L. GBAGBO en train de saccager, casser et incendier véhicules et immeubles au Plateau.
fleur
28 juillet 2011
@vergos:merci
Enstci
28 juillet 2011
« Nous voulons rentrer chez nous mais nous ne pouvons pas »
Plus d’un demi-million de personnes déplacées craignent de retourner chez elles.
De graves violations des droits humains, y compris des crimes contre l’humanité, des crimes de guerre, des actes de torture, des disparitions forcées et des exécutions extrajudiciaires ont été commis en Côte d’Ivoire depuis avril 2011.
Amnesty International a publié le 28 juillet à ce sujet un rapport intitulé : « Nous voulons rentrer chez nous, mais nous ne pouvons pas” Insécurité et personnes déplacées en Côte d’Ivoire : une crise persistante. » (à télécharger ci-dessous)
En raison de leur appartenance ethnique – qui fait supposer qu’elles soutenaient l’ancien président Gbagbo – des groupes de personnes sont attaquées par les forces de sécurité gouvernementales (FRCI) et une milice composées de Dozos (chasseurs traditionnels). Les déplacés qui font partie de ces mêmes groupes ethniques n’osent pas rentrer chez eux.
Ceci concerne plus d’un demi-million de personnes.
« Je me suis caché dans la forêt avec ma famille pendant plusieurs semaines. Après l’investiture du président Ouattara tout le monde disait que la situation était maintenant sûre. Donc nous avons décidé de rentrer dans notre village. Mes fils marchaient devant moi, lorsque tout à coup je les ai entendus crier. Je pouvais voir qu’ils avaient été arrêtés par un groupe de Dozos. Mon fils aîné m’a dit de courir et a ajouté : « »Nous sommes déjà morts « .Je me suis enfui et j’ai entendu des coups de feu […] Je ne cesse de penser à cela. […] Un père est censé protéger ses enfants. Je n’ai rien pu faire pour empêcher cela. »
Amnesty International est particulièrement préoccupée par le « rôle de maintien de la sécurité » que les forces officielles (FRCI) ont confié aux Dozos. Ils assurent la surveillance de postes de contrôle sur les routes principales de l’ouest de la Côte d’Ivoire dissuadant ainsi les personnes déplacées de retourner chez elles.
La liberté avec laquelle ils agissent indique que leur action est tolérée par les autorités qui semblent n’avoir pris aucune mesure pour empêcher de tels agissements.
De nombreux témoignages ont fait état aussi, par exemple, de viols commis par les hommes des FRCI.
Amnesty International appelle le Président Ouattara à mettre en place, de manière urgente, un plan d’action global afin de rétablir la sécurité dans l’ensemble du territoire afin de créer les conditions d’un retour sûr et durable dans leurs foyers des personnes déplacées et des réfugiés.
Cela doit inclure un programme efficace de désarmement, démobilisation et réinsertion des milices et autres forces irrégulières.
Il est indispensable aussi d’exercer un contrôle hiérarchique strict sur les membres des FRCI.
Elle salue la décision de l’ONUCI d’établir huit camps militaires dans l’ouest du pays afin de protéger plus efficacement la population civile. Elle demande à la communauté internationale de renouveler le mandat de cette force et de veiller à ce qu’elle participe à la restauration de l’Etat dans l’ensemble du pays.
De nombreuses personnes ont dit à Amnesty International qu’elles souhaitaient connaître la vérité et considéraient cela comme une condition pré-requise à toute éventuelle réconciliation. Un dirigeant de la communauté du village d’Adébem a déclaré: « Nous ne savons pas pourquoi cela a eu lieu. Nous ne savons même pas vraiment tout ce qui s’est passé. Nous savons juste que c’était horrible. Bien sûr, chacun sait ce qui lui est personnellement arrivé. Mais ce que les gens disent à propos des événements en général relève principalement de la rumeur. Il faut qu’une enquête soit faite, afin que nous sachions ce qui s’est réellement passé et pourquoi cela s’est passé. Sinon, je pense que nous verrons encore les signes de cette haine que tant de gens ressentent et nous continuerons à avoir peur que cela puisse recommencer à tout moment « .
Source : cotedivoire.canalblog.com (afrohistorama.over-blog.com)
bibi
28 juillet 2011
chers résistants, croyez vous à l’histoire de watao parti au ghana rencontré je ne sais qui? il va se terrer quelque part et ressortir pour nous faire croire qu’il revient de là bas et encore nous abreuver de leur poison à très haute teneur toxique ( le mensonge), tantôt c’est lui qui a sauvé Blé Goudé en l’aidant à s’évader, par moment, il l’a eu au téléphone et doit rentrer pour participer à la caravane de réconciliation etc….. quand allons nous finir avec ces marabouts pour enfin respirer l’air pur ?
Lighton
28 juillet 2011
@Bibi,
Comment vas-tu Resistante?
J’espere que tu te portes bien.
Je dois t’avouer que j’admire ton engagement dans la lutte de liberation de la Cote d’Ivoire et de l’Afrique. Surtout j’admire ton tranchant.
Ce qui est sur ma soeur, nous allons gagner. Le jour de la liberation approche a grand pas.
Rendons a grace a Dieu en nous preparant.
gbagbo the best
28 juillet 2011
Côte d’Ivoire, encore un peu de temps …
Car le diable est descendu vers vous , animé d’une grande colère , sachant qu’il a peu de temps Apo 9/12 Par deux fois dans la journée du 26 juillet , je reçevrais ce verset accompagné de la vision d’une cordée qui grimpe vers le sommet d’une montagne et le Seigneur me dit : Vous arrivez au sommet dans « peu de temps « , c’est pour bientôt !!
Je vois l’image d’une cordée qui grimpe une montagne . Elle arrive bientôt au sommet , c’est le dernier pic , sur lequel est déjà planté un drapeau , puis je vois tous les éléments qui se déchainent contre la cordée pour la désunir. Pourtant ils ont tenus bon jusque là malgré les ronces , les pierres, les passages difficiles mais ils arrivent bientôt au point culminant .
L’ennemi sait ce que représente le sommet de la montagne , qu’on y arrive bientôt , que Dieu a planté sa bannière au sommet et il ne peut l’empêcher , il ne peut rien y changer, car c’est l’ange de l’Eternel qui a précédé la cordée et qui a déjà planté le drapeau sur le pic le plus haut . Alors il se déchaîne de toute sa colère contre la cordée pour en décourager un maximum mais surtout pour les désunir. S’il peut en faire tomber un dans le précipice , il sait que c’est plus lourd pour les autres
Arrives au sommet , il veut aussi les empêcher d’entrer ensemble dans le pays promis
La cordée , ce sont les intercesseurs , mais ils représentent aussi la bannière de l’Eternel
Car nous sommes aussi sa bannière et Il l’étend sur le pays ..
Vous tous, habitants du monde, habitants de la terre, Voyez la bannière qui se dresse sur les montagnes, Écoutez la trompette qui sonne! Es 18/3
Sur une montagne nue dressez une bannière, Élevez la voix vers eux, Faites des signes avec la main, Et qu’ils franchissent les portes des tyrans Es 13/2
C’est pour bientôt . On est presque arrivés au sommet , à la fin d’un cycle , de cette situation et l’Eternel intervient en Côte d’Ivoire
L’ ange de l’Eternel a précédé la cordée et il a déjà planté le drapeau de l’Eternel sur le sommet du pays
L’ennemi sait que le plan de Dieu pour la Côte d’Ivoire s’accomplira , il sait qu’il ne peut empêcher ce plan de s’accomplir, il sait qu’il lui reste peu de temps , il sait que c’est pour bientôt , Comme il ne peut empêcher ce plan de s’accomplir, il est animé d’une grande colère contre les participants de ce plan et les intercesseurs ( la cordée), car c’est la seule muraille qui s’oppose à lui , et qui l’empêche d’ agir librement.
Faites attention à vous et aux brèches dans la muraille
Et si un assaillant l’emporte sur un seul, deux lui tiendront tête. Le cordon triple ne se rompt pas de sitôt Ecc 4/12
En juin, je recevais déjà ceci lorsque j’avais demandé « Jusqu’à quand Seigneur ? »
Encore un peu de temps, et vous ne me verrez plus; et puis encore un peu de temps, et vous me verrez…
Jean 16/16 Encore un peu de temps, et vous ne me verrez plus; ( Christ est mort – la Côte d’Ivoire est morte – c’est encore l’heure des ténèbres ) et puis encore un peu de temps, et vous me verrez, ( Christ est ressuscité – la Côte d’Ivoire ressuscite)
il y a eu la Pâques prophétique de la Côte d’Ivoire , il y a la résurrection et la pentecôte annoncées ( le printemps) de la Côte D’Ivoire
Jésus, connut qu’ils voulaient l’interroger, leur dit: Vous vous questionnez les uns les autres sur ce que j’ai dit: Encore un peu de temps, et vous ne me verrez plus; et puis encore un peu de temps, et vous me verrez. En vérité, en vérité, je vous le dis, vous pleurerez et vous vous lamenterez, et le monde se réjouira: vous serez dans la tristesse, mais votre tristesse se changera en joie. La femme, lorsqu’elle enfante, éprouve de la tristesse, parce que son heure est venue; mais, lorsqu’elle a donné le jour à l’enfant, elle ne se souvient plus de la souffrance, à cause de la joie qu’elle a de ce qu’un homme est né dans le monde. Vous donc aussi, vous êtes maintenant dans la tristesse; mais je vous reverrai, et votre coeur se réjouira, et nul ne vous ravira votre joie. En ce jour-là, vous ne m’interrogerez plus sur rien. Jean 16/16 à 23
La délivrance promise , la naissance d’un pays dont le Seigneur m’a parlé il y a 30 ans par ces paroles, la naissance approche …
Une voix éclatante sort de la ville, Une voix sort du temple. C’est la voix de l’Éternel, Qui paie à ses ennemis leur salaire. Avant d’éprouver les douleurs, Elle a enfanté; Avant que les souffrances lui vinssent, Elle a donné naissance à un fils. Qui a jamais entendu pareille chose? Qui a jamais vu rien de semblable? Un pays peut-il naître en un jour? Une nation est-elle enfantée d’un seul coup? A peine en travail, Sion a enfanté ses fils! Ouvrirais-je le sein maternel, Pour ne pas laisser enfanter? dit l’Éternel; Moi, qui fais naître, Empêcherais-je d’enfanter? dit ton Dieu. Réjouissez-vous avec Jérusalem, Faites d’elle le sujet de votre allégresse, Vous tous qui l’aimez; Tressaillez avec elle de joie, Vous tous qui menez deuil sur elle ( Es 66/6 à 10)
Voici, j’enverrai mon messager; Il préparera le chemin devant moi. Et soudain entrera dans son temple le Seigneur que vous cherchez; Et le messager de l’alliance que vous désirez, voici, il vient, Dit l’Éternel des armées. Mal 3/1
Cote d’Ivoire, c’est pour bientôt !
Prépare le chemin du Seigneur !
Aimons-nous ardemment
Deborah
stev 2
28 juillet 2011
ALERTE …….. ALERTE…….. ALERTE……..ALERTE
J’AI VU DE MES DEUX YEUX DEUX COLONNES D’ANGES ARMES JUSKO DENTS QUITTER ACCRA INTERROGES IL M’ONT DIT KIL VONT A KOROGHO DELIVRER GBAGBO ET L’EMMENER AU PARADIS POUR REMPLACER DIEU KI A DECIDER DE PRENDRE SA RETRAITE GBAGBO…. BLE GOUDE SERA CERTAINEMENT PRESIDENT DE L AFRIK ET SIMONE VA REMPLACER LA VIERGE MARIE
Lighton
29 juillet 2011
Ecoutez cette chanson. De l’humour crue.
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Lighton
29 juillet 2011
LES REBELLES LIBYENS ANNONCENT LA MORT DE LEUR CHEF MILITAIRE
BENGHAZI, Libye (Reuters) – Abdel Fattah Younès, chef des opérations militaires de l’insurrection libyenne contre Mouammar Kadhafi, a été tué jeudi par des hommes armés, a annoncé le plus haut dirigeant de la rébellion.
Ancien ministre libyen de l’Intérieur, Abdel Younès faisait partie du groupe qui porta Mouammar Kadhafi au pouvoir par un coup de force en 1969. Il avait fait défection pour rejoindre la rébellion en février dernier.
« Nous avons été informés aujourd’hui que (…) Younès et deux de ses gardes du corps avaient été abattus après sa convocation devant une commission judiciaire enquêtant sur des questions militaires », a déclaré aux journalistes Moustafa Abdel Djalil, président du Conseil national de transition (CNT), dans le bastion rebelle de Benghazi.
Certains insurgés n’ont jamais accepté de voir leur armée dirigée par un homme aussi proche de Mouammar Kadhafi jusqu’à une période récente. Abdel Younès avait été mêlé à un différend sur la direction des forces rebelles.
Moustafa Djalil a dit qu’Abdel Younès avait été tué avant de pouvoir être entendu par la commission et que le chef du groupe armé qui l’a abattu avait été arrêté.
Dans la journée, une source rebelle avait rapporté qu’Abdel Younès avait été rappelé jeudi matin de Brega, mais sans pouvoir en indiquer la raison. Le bruit a couru voici peu qu’il était soupçonné d’avoir mené des discussions secrètes avec le gouvernement de Mouammar Kadhafi.
Rania El Gamal, Philippe Bas-Rabérin pour le service français
Agent007
29 juillet 2011
ALERTE! ALERTE! ALERTE! ALERTE!
A LIRE .
GLOIRE A DIEU!
VIVE LA RESISTANCE!
VIVE LE PRESIDENT SEM LAURENT GBAGBO!
VIVE LA COTE D’IVOIRE LIBRE ET INDEPENDANTE!
http://www.eburnienews.net/?p=438
Enstci
29 juillet 2011
Nous sommes tous coupables
Source : cotedivoire.canalblog.com (Afrik 53)
Comme dans une scène de cinéma, le lundi 11 avril 2011, la vie politique de la Côte d’Ivoire a connu un véritable « break down » avec la chute du Président Laurent GBAGBO pourtant, élu par le peuple ivoirien et confirmé par les institutions de ce pays, indépendant de plus de cinquante ans.
Depuis, tel un groupe de singes qu’un python surprend dans un gros arbre, c’est la panique et la pagaille dans le village ivoire.
D’un côté, le chef de la rébellion, Dramane Ouattara et ses chiens de guerre, qui tentent de convaincre de la solidité d’un pouvoir dont l’acquisition empeste de l’odeur coloniale déposée sur une signature digne des réseaux focardiens. De l’autre côté, la bagarre fait rage entre les tenants du pouvoir déchu. Entre les querelles de positionnement et accusations de part et d’autre pour justifier la responsabilité de chacun dans la perte du pouvoir, le commun des mortels y voit tout aussi clair que dans du jus de boudin. Comme on le dit dans les rues abidjanaises, « tout est mélangé ».
Comment un homme tel Laurent GBAGBO que tous présentent comme le Mandela ou le Lumumba des temps nouveaux a-t-il pu perdre le pouvoir sans jamais avoir eu la moindre chance de mettre en place son programme de gouvernement ?
Les esprits les plus avisés de la scène politique ivoirienne sont unanimes à reconnaître la maestria politique de Laurent GBAGBO. Sur le continent noir, très peu de Présidents peuvent se mettre en balance avec lui. Tous lui reconnaissent son intégrité, son projet exceptionnel de gouvernance, son éloquence intellectuelle et sa brillante maîtrise de tous les sujets contemporains. De lui, un journaliste d’un quotidien français disait : « C’est un homme merveilleux à écouter et dès que vous le quittez, vous courez tout de suite à vos bouquins, tellement vous avez l’impression de ne rien savoir. On dit en Afrique qu’un vieillard qui meurt est une bibliothèque qui part en fumée et, ce monsieur est effectivement une véritable bibliothèque bien encore vivante et chaque africain devrait s’abreuver à sa source ».
Laurent GBAGBO est un homme politique bien et bon à tous les niveaux, même si la perfection ne fait pas parti de ce monde. Mieux, même ceux qui le tiennent aujourd’hui en captivité, aussi bien du côté de l’Elysée que d’Abidjan, ne savent pas trop quoi mettre dans le dossier d’accusations tellement les arguments sont farfelus et dénudés de tout sens logique.
Que peut-on réellement reprocher à Laurent GBAGBO ?
Parce que s’il est vrai que ses adversaires actuels ne peuvent rien lui reprocher, il n’en est pas de même pour le petit ivoirien du coin de la rue.
Son épouse Simone Ehivet est la première qui annonce les couleurs dans l’ébauche des reproches contre Laurent GABGBO : « Lorsqu’on défend une cause, on a besoin d’un certain nombre d’éléments. On a besoin de courage, on a besoin d’honnêteté. On a surtout besoin d’avoir une vision claire du combat que l’on mène. Si on a des idées confuses, on ne va pas loin. On a besoin d’avoir un groupe constitué sur lequel s’appuyer, et dans ce groupe là, on ne doit tolérer ni laxisme, ni aucune division », in Paroles d’Honneur. Et le groupe de zouglou « Yodé et Siro » viendra enfoncer le clou dans les reproches contre le Président ivoirien « si tu as nommé voleur, c’est quoi qu’on va appeler voleur ».
Oui, les reproches contre Laurent GBAGBO peuvent être nombreux mais plutôt que des fautes individuelles, ce sont bien au contraire des fautes collectives qui lui incombent en tant que chef de groupe. Car, Laurent GBAGBO a toujours fait preuve d’un courage exemplaire, son honnêteté ne fait aucun doute et depuis un demi siècle qu’il a décidé de consacrer sa vie à son pays et à la politique, sa vision est restée la même jusqu’à son renversement du pouvoir par l’armée française. Malheureusement, s’il disposait de toutes les qualités d’un vrai leader, il est aujourd’hui juste de reconnaître que Laurent GBAGBO a manqué d’un vrai groupe.
En effet, bien avant son accession au pouvoir, le Front Populaire Ivoirien (FPI) faisait rêver tous les ivoiriens et les démocrates de tous bords.
La maîtrise des problèmes sociaux, l’étroitesse des rapports avec les populations, la parfaite connaissance du pays et la pertinence des solutions proposées, tout ceci faisait que la venue au pouvoir de Laurent GBAGBO et ses camarades était pour la Côte d’Ivoire toute entière ce qu’est pour une jeune fille amoureuse, l’arrivée de son prince charmant. Tant de rêve et d’espoir pour des lendemains heureux. Mais une fois au pouvoir et surtout depuis un certain septembre 2002, tous les ivoiriens qui s’étaient pris de rêve avec l’avènement de la « refondation », vont vite déchanter.
En effet, avec la crise de septembre 2002, le FPI de Laurent GBAGBO va perdre tous ses repères et se comporter comme de véritables larrons en foire. La course à l’enrichissement facile et rapide va faire place à l’intégrité morale qui caractérisait les « camarades ». L’orgueil et l’arrogance vont s’installer à la place de l’humilité légendaire et de la sollicitude qui étaient le partage de nos « camarades ».
Profitant de la période de crise et de la profonde pagaille qui régnait dans le pays, certains camarades vont en profiter pour s’en mettre plein les poches comme si cette crise marquait la fin de la Côte d’Ivoire.
Les camarades vont alors devenir des invisibles car les catégories sociales venaient de changer. Nous étions désormais des oiseaux aux plumages différents. Dorénavant pour avoir la chance de voir un camarade, promu par Laurent GBAGBO, il fallait attendre des obsèques communautaires et sourire grandement à ses nombreux gardes du corps. Avec un peu de chance et une maîtrise parfaite des pas de danse du terroir, tu pouvais avoir droit à un petit billet « bleu » de sa part. Au pays bété, il fallait être un excellent danseur de « l’Alloukou » aux sons de Dodo Lather, Djezoua Djagger et autres.
Le lien était rompu entre les camarades et la base. Dans nos villages, les camarades nommés par le chef avaient oublié que c’était une mission que ce dernier leur confiait à travers cette promotion, celle de maintenir la flamme militante et de consolider le parti dans leur zone respective. Pire, la solidarité et l’amitié qui regnaient jadis au sein groupe vont foutre le camp. Des querelles idiotes et insensées de leadership vont naître entre des camarades qui se connaissaient pourtant depuis les années de prison sous Houphouët Boigny et même bien avant cela pour certains. A travers toutes les régions du pays, des cadres vont fragiliser le parti et Laurent GBAGBO qui faisait déjà face à la rébellion et ses nombreux soutiens dont la France, en première ligne. Partout les cadres du parti vont s’affronter à travers leurs différents clubs de soutien et abandonner par la même l’entretien politique de la base. Nous ne voulons pas citer de noms mais, la mémoire collective est encore fraîche et nous avons tous en esprit cette querelle de deux de nos valeureux cadres, pourtant issus du même village. Plutôt que de faire profiter de cette chance à leurs populations et permettre l’ouverture du parti aux autres populations encore réticentes ; ces deux fils du même terroir se sont détestés jusqu’à la mort très récente du plus jeune au cours des évènements qui ont conduit à la chute du chef.
Toutes ces querelles inutiles vont fragiliser le parti qui va ainsi perdre sa sérénité et prendre l’eau de toute part. Plutôt de soutenir le chef qui faisait l’objet de toutes sortes d’attaques aussi bien au plan national qu’international, les camarades étaient plus préoccupés à savoir qui était le plus beau, le plus grand de taille, le plus riche et le plus performant au lit, étant donné que tous, avaient un faible pour la chair féminine bien fraîche. C’était la pagaille dans la maison « bleue ».
Le chef ayant constaté qu’il était seul face aux adversaires qui devenaient de jour en jour plus mordants, va ouvrir ses bras à de nouveaux « amis », alliés de circonstance. Ne dit-on pas que lorsqu’on se noie, on s’accroche à la première branche qui s’offre à nous dans l’espoir d’être sauver et peu importe d’où elle vient ? Laurent GBAGBO pour n’avoir pas pu compter sur un véritable groupe bien constitué, était obligé de s’offrir à de nouvelles personnes dont on ignorait complètement les desseins.
Ainsi, entre les camarades d’hier, désormais cossus financièrement et occupés à rattraper le temps avec les « petites » et les nouveaux alliés, préoccupés eux aussi, à se remplir les poches, Laurent GBAGBO prenait l’eau de partout. Ses adversaires ne pouvaient qu’être heureux car ce qu’ils n’avaient pas réussis par les armes, ils allaient le réussira en prenant pour prétexte les tares des « camarades ».
Et pourtant dans cette marre ivoire, depuis 2002, chaque parti se servait à souhait sans le moindre contrôle mais comme nos camarades aimaient les crabes, les bruits de leur mâchoire parvenaient aux oreilles de tout le peuple.
Aujourd’hui où nous nous souvenons qu’il y a 100 jours que Laurent GBAGBO est embastillé par Dramane Ouattara avec le soutien ferme et la caution de la France, il est plus qu’important que nous sachions que nous sommes tous responsables, chacun à son niveau. Car, parmi nos sœurs, qui n’a jamais rêver d’avoir son « refondateur » et de l’autre côté, qui n’a jamais réclamé sa part au « tonton » ou poussé ce dernier à en prendre davantage ?
Oui, nous sommes tous responsables de la chute de notre leader et aujourd’hui, l’heure a sonné de retrousser nos manches, de revenir à l’idéologie socialiste de base et d’engager la bataille résolument pour la libération de Laurent GBAGBO et la préservation des nombreux acquis démocratiques obtenus au prix de mille combats et de nombreuses privations.
Et, dans cette nouvelle quête, les frères et sœurs de la diaspora notamment ceux d’Europe avec à leur tête de dignes et valeureux ivoiriens tels Alain Toussaint, Abel Naki, Patrice Kouté, Jean-Paul Gnahoua, pour ne cite que ceux là, sont déjà à la tâche et nous devons tous les y rejoindre.
Oui, il faut sauver le soldat GBAGBO car il y va de notre dignité d’Homme libre et de la crédibilité de la nouvelle génération que nous représentons aujourd’hui.
Senateur Akenon !!!!
Enstci
29 juillet 2011
Ma 4e lettre à Alassane Ouattara
Monsieur Alassane Dramane Ouattara,
Président de la république indépendante et souveraine de Cote d’Ivoire,
Cher Monsieur,
C’est avec un profond sentiment de tristesse et de déception que je m’adresse à vous à travers cette modeste lettre que, j’espère vous parviendra.
Monsieur le président de la république indépendante et souveraine de Cote d’Ivoire, je vous ai déjà envoyé plusieurs courriers qui sont restés sans suite. J’ose penser que le contexte socio-militaro-politique de notre pays vous préoccupe au point que répondre à des individus insignifiants de mon rang est le dernier de vos soucis. Surtout que la résonance de mon patronyme provoque une allergie des plus aiguës en vous et précipite votre index sur la gâchette. Du calme Monsieur le président, je n’ai pas de kalachnikov ni de lance-roquettes. Je veux la paix pour mon pays..
Monsieur le président,
Je vous envoie la présente lettre pour vous soumettre mes différentes préoccupations suite à votre accession à la présidence de la Cote d’Ivoire dans les chars français le 11 avril 2011. Comme vous le savez, des milliers d’ivoiriens ont été massacrés, des familles entières décimées, des personnes brûlées vives, des biens rasés et annexés, des femmes violées. Vous avez enjambé tous ces morts et ces ruines pour vous faire reconnaître par un conseil constitutionnel ivoirien complètement désemparé, représenté par la coquille vide d’un Yao N’dré qui était encore enfoui dans les profondeurs et douleurs du cauchemar ivoirien.
Votre cérémonie d’investiture a été l’occasion pour un rassemblement des ressortissants de la CEDEAO en lieu et place des ivoiriens qui vous auraient voté à plus de 55%. La pièce de théâtre était parrainée par la grande france du « tout-petit » qui se veut se faire grand en marchant sur la pointe des pieds. La fête populaire et la liesse qui devraient couronner la célébration de la chute du dictateur Gbagbo comme ce fut le cas en Tunisie n’ont pas eu lieu, sinon pas encore! Sur ce point, je suis vraiment resté sur ma faim, et avec moi, des milliers d’ivoiriens y compris certains de vos militants. « Nous nous sommes trompés de personne », confirma un diplomate français, parlant de vous! Quel culot ce diplomate!
Monsieur le président, je suis préoccupé.
Monsieur le président, force est de reconnaître que les grandes nations contemporaines ont toutes connu la guerre. La france a connu la révolution, les Etats-Unis ont vécu la guerre de sécession, l’Espagne fut victime de la guerre civile. La guerre peut être un préalable au développement, la guerre peut servir de tremplin au renforcement des liens entre les peuples d’une même nation. La guerre peut renforcer la paix au sein d’une nation. Tout dépend de comment on s’y prend. Tout dépend de la tête du pays. Contre le gré, des ivoiriens, vous êtes la tête du pays. La volonté de la france a été faite. Amen!
Monsieur le président, notre pays a du mérite. La Cote d’Ivoire peut se vanter d’avoir vécu le plus long coup d’état de l’histoire des nations de mémoire d’homme (de 2002 à 2011). Ce coup d’état manqué de 2002 qui s’est finalement mué en conflit armé ouvert est supposé avoir pris fin officiellement le 11 avril 2011 avec la « CAPTURATION » de son excellence Laurent Gbagbo. « Le cauchemar est terminé » disait Mr Soro Guillaume.
Mr le président, la guerre est effectivement terminée en Cote d’Ivoire. Le fait est devant nous, réel et indéniable: vous avez gagné la guerre militaire avec l’appui de 5 armées (la licorne, l’onuci, les dozos, l’ecomog et le « commando invisible » ). Les classes politiques ivoiriennes ont commis de graves erreurs, chacune à son niveau. « Nous sommes tous responsables de ce qui nous est arrivé, nous sommes tous allés loin », disait le pauvre Yao N’dré. En effet. Oui, le cauchemar est terminé, mais pas pour tout le monde! Les pro-Gbagbo vivent toujours dans la psychose, qui pour leur appartenance politique, qui pour leur appartenance ethnique. Monsieur le Président, cela n’est pas cela la démocratie!
Mr le président, vous aviez promis de garantir la sécurité des personnes et des biens sous deux mois. Plus de quatre mois plus tard, le pays, dans sa quasi-totalité vit encore dans l’angoisse, la peur et la méfiance mutuelle entre les ethnies cristallisées autour des groupes politiques RHDP et LMP. Politique de la division ou géopolitique à l’envers?
Monsieur le président, vous aviez promis une justice équitable pour tous. Vous continuez à dire que les responsables des crimes seront tous punis. Ce que j’ai remarqué Monsieur le président, c’est que tous ceux que vous soupçonnez chez vos adversaires sont tout de suite arrêtés, jetés en prison et torturés avant même d’ouvrir les enquêtes. quand il s’agit des personnes appartenant à votre camp, vous ouvrez les enquêtés sans queue ni tête d’abord. Jusqu’à ce jour, aucune arrestation n’a eu lieu dans votre camp. C’est curieux quand même non! C’est cela la justice à deux vitesses, la justice des vainqueurs. cette justice ne nous fera pas profiter de la guerre comme les autres nations.
Monsieur le président, des milliards de nos francs sont sacrifiés pour ramener la paix dans notre pays au moyen d’une réconciliation que vous prônez depuis le 11 avril. Vous avez même créé une commission vérité et réconciliation. Ce que j’ai remarqué, c’est que là encore, vous faites de deux poids deux mesures. Monsieur le président, j’ai appris récemment par la presse que le Directeur de campagne artistique de son Excellence Laurent Gbagbo a été reçu par de vos ministres après avoir été « courtisé » par le subit faiseur de paix Traoré Salif (A’salfo) qu’on avait jamais vu aussi actif sur le plan politique.
Pendant ce temps, vous lancez un mandat d’arrêt international contre l’un des directeurs de campagne du même Gbagbo. J’ai appris également que Hermann Aboa, un jeune journaliste talentueux qui n’a fait que faire son travail pendant la guerre, est derrière les barreaux. Cela est inadmissible!!!! Michel Gbagbo a-t-il choisi d’etre né de Laurent Gbagbo? Quel autre crime a-t-il commis hors mis etre le fils de son père? Est cela le crime de sang?
Monsieur le président, je demeurre « stoique et pantois » selon les termes de mon frère « Vieux Gazeur ». Merci Coco!
Monsieur le président, vous encouragez les ivoiriens de la diaspora à rentrer au pays. c’est une très bonne chose parce que » there is no place like home ». Oui, on ne sent mieux que chez soi. Mais que nous arrivera-t-il à nous qui pensons différemment de vous? A quelle sauce serons-nous mangés? Est-ce une manière voilée de nous appâter ou de demander aux étrangers d’achever l’invasion et l’annexion de la Cote d’Ivoire?
Monsieur le président, permettez-moi de vous confier une confession: la colère que j’avais contre vous s’est dissipée. « Le temps est l’autre nom de Dieu ». Je ne vous appelle plus watra, je ne vous appelle plus « préfet international » non plus. Je vous appelle « Monsieur le président ». Je suis également contre ces bruits de coup d’état contre votre régime.
Je suis contre la violence, c’est la raison principale pour laquelle je pense que vous ne méritez pas de diriger la Cote d’Ivoire parce que je reste convaincu que c’est vous qui avez introduit la violence sur la scène politique en Cote d’Ivoire. Un coup d’état déjoué recemment, de qui se moque-t-on? Quel etre humain pourvu de tous ses sens oserait tenter un coup d’état contre un régime international surtout dans le contexte actuel? La réussite d’un coup d’état mettrait la france et les états-unis dans une position très inconfortable.
Cela est évident! Sans m’ériger en expert de la stratégie de défense, je sais que les 322000 km2 de la Cote d’Ivoire sont bouclés par 3 des 5 armées qui vous installé. Tout mouvement viendra de l’intérieur. Aucun pro-Gbagbo n’osera faire un coup d’état. Cela n’est pas dans la culture des ivoiriens. Cette rebellion mangera ses enfants! « Celui qui règnera par l’épée, périra par l’épée….en vérité, en vérité ». Arretez de vous faire peur et de créer des mouvements pour inculper les pauvres Forces de Défense et de Sécurité qui ont commis le seul crime de défendre les institutions de la république quand vous avez attaqué le pays. Les ivoiriens ne sont pas dupes.
Monsieur le président, vous êtes au pied du mur aujourd’hui. La tache vous semble himalayenne! Visiblement, c’est dur pour vous, je dirais même très dur! Les solutions ADO semblent inappropriées sinon inefficaces. Au lieu de sauter de branche en branche à visiter les différentes capitales des autres pays du monde, vous feriez mieux de redonner confiance aux ivoiriens afin d’aller vers une réconciliation vraie et durable.
Les ivoiriens veulent réapprendre à vivre. Il faut leur donner cette chance. Il faut les aider à restaurer la confiance entre eux. La guerre est finie. Libérez tous les prisonniers politiques, arrêtez de poursuivre les personnes soupçonnées d’appartenir au camp Gbagbo. Mettez fin aux exactions, appliquez une justice vraie digne de confiance et capable de recoller tous les morceaux de la Cote d’Ivoire. Appliquez le respect des droits élémentaires de l’homme. Laissez les journalistes faire leur travail en paix. Ce sont des préalables basiques à une démocratie vraie.
Par ailleurs, la population ivoirienne de Cote d’ivoire attend toujours votre premier bain de foule Monsieur le président. Les sénégalais, les français, les burkinabés, les équato-guinéens, les américains etc…. vous ont vus de près. Qu’en est-il des ivoiriens? Vous devez visiter les quatre coins de la Cote d’Ivoire, en particulier l’ouest. Vous devez être le président de la Cote d’Ivoire.
Monsieur le président, c’est bien vous « ADO SOLUTIONS », j’ai confiance.
Sans rancunes.
Cebastien Gnahoré
Source : cotedivoire.canalblog.com (Afrik 53)